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Giulietta Guicciardidébut du XIXe siècleGiultetta, née en 1794, appartenait à une famille noble originaire du duché de Modène ; par samère, la comtesse Suzanne, elle était apparentée à la maison de Brunschwick dont Beethovenétait un des familiers.

Publié le 23/05/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Giulietta Guicciardidébut du XIXe siècleGiultetta, née en 1794, appartenait à une famille noble originaire du duché de Modène ; par samère, la comtesse Suzanne, elle était apparentée à la maison de Brunschwick dont Beethovenétait un des familiers. Ce document contient 333 mots soit 1 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Culture générale.

« Giulietta Guicciardi début du XIXe siècle Giultetta, née en 1794, appartenait à une famille noble originaire du duché de Modène ; par sa mère, la comtesse Suzanne, elle était apparentée à la maison de Brunschwick dont Beethoven était un des familiers.

On sait que le grand homme, sans fortune et sans situation, sera éconduit six ans plus tard lorsqu'il demandera la main de la jeune Thérèse de Brunschwick, bien qu'un certain mystère plane encore sur cet épisode de sa vie.

C'est la même réponse qui lui fut faite quand il s'éprit de Giulietta Guicciardi qui, en 1801 était, au dire de témoins, “ d'une beauté rare ”.

La rencontre de Beethoven et de Giulietta coïncida avec la période douloureuse de la vie du musicien, période qui trouvera bientôt son expression dans le déchirant “ testament d'Heiligenstadt ”.

Voici ce qu'il écrit à son ami Wegeler : “ Tu peux à peine croire quelle vie désolée, triste, j'ai passée depuis deux ans...

la faiblesse de mon ouïe m'est partout apparue comme un spectre et je fuyais les hommes...

Depuis deux ans, j'ai de nouveau quelques instants de bonheur ; ce changement est l' œ uvre d'une jeune fille au charme magique qui m'aime et que j'aime, et pour la première fois, je sens que le mariage pourrait me rendre heureux ; malheureusement, elle n'est pas de mon rang et maintenant je ne pourrais certainement pas me marier.

” En 1802 Giulietta se fiance au comte Gallenberg ; les dernières espérances de Beethoven s'évanouissent et la victoire que le géant de la musique remportera sur le destin, ce destin qu'il s'était promis de “ saisir à la gorge ”, va donner ses plus beaux fruits avec “ l'Ut mineur ” et “ l'Héroïque ”.

Il avait dédié à la jeune comtesse la sonate en Ut mineur (devenue célèbre sous le nom de “ Clair de Lune ”), mais c'est surtout “ Fidélio ”, ce monument élevé à la gloire de l'amour conjugal, que l'on peut rattacher à la mémoire de Giulietta Guicciardi.. »

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