giselle
Publié le 18/05/2020
Extrait du document
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Pendant plusieurs jours de suite, un bataillon de soldats en déroute avait traversé la ville.
Des allemands
allaient rentrer a Paris, nous sommes en France 1870, malgré leurs bravoure et leur courage, les soldats
français dans leurs uniformes et leurs armes ne faisaient guère le poids contre les meurtriers de sang
allemand.
Puis un calme profond, une attente silencieuse planait sur la cité ou habitait Giselle.
C'était une jeune femme, petite de taille , ronde de partout, très grasse à la peau luisante.
Elle était naïve mais
très forte.
Cette jeune femme avait l'allure pale malgré ses rondeurs avait un grand souci qui la tourmenté, son
amant qu'elle aimé tant était soldat engagé pour la guerre contre l'Allemagne.
La peur, la terreur et la souffrance faisaient place dans le quotidien de Giselle quand elle voyait les soldats
quitter la France pour délivrer leur pays de l'emprise de l'Allemagne.
Elle entendait parler les femmes du peu
de lettres qu'elles recevaient de leurs maris, il était question de massacre.
Paris ne ressemblait plus à la belle capitale française, elle subissait la famine, la pauvreté et la misère de ses
habitants.
Les marchands , les magasins et que les industries ont disparu et firent places au soldats
allemands ainsi qu'a un champs de bataille et de terreur .
Les choses allaient de mal en pire, et la population ne
pouvant plus supporté la faim décida de quitter le pays, mais bien entendu seul les plus riches et les plus
chanceux surtout y parviennent, car les soldats allemands grouillaient dans la moindre rue dans le grand et
vaste Paris, malgré cela Giselle usa de ses charmes pour obtenir une autorisation de quitter le territoire.
Donc, une grande diligence a quatre chevaux ayant été retenu pour ce voyage, et dix personnes s'étant fait
inscrire chez le voiturier on convenu de partir un mercredi matin, avant le jour, pour éviter tout rassemblement.
Le mardi vers deux heure et demi, gros nuages noirs cachaient encor le ciel, soudain la neige commença a
tombé sans interruption pendant toute la soirée et toute la nuit.
A quatre et demi du matin les voyageurs se
réunirent devant la mairie, ils grelotaient de froid sous leur manteau, ils se voyaient mal dans l'obscurité, après
que tout le petit monde se rassembla ils s'entassèrent .Le voiturier dit d'un ton ferme : .
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