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Géographie chapitre 1: Mers et océans vecteurs essentiels de la mondialisation

Publié le 27/12/2024

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« Chapitre 1: Mer et océans vecteurs essentiels de la mondialisation Introduction Si on caractérise la terre comme la planète bleu, c’est parce que les mers et les oceans contituent 70,8% de la surface terrestre.

Au cours de ces dernieres année, on remarque que Les mers et océans sont les principaux vecteurs de la mondialisation, concentrant près de 90 % du transport des marchandises.

De ce fait, la mondialisation est un processus d’accroissement des échanges internationaux et d’accentuation de l’interdépendance entre les territoires.

Leur exploitation et leur contrôle devient donc un enjeu économique et géostratégique majeur I.

Les mers et océans, vecteurs de la mondialisation. A.

Des espaces qui concentrent les échanges. ➔ La maritimisation de l’économie mondiale : La maritimisation, c’est le processus d’accroissement des échanges par voie maritime qui s’opère depuis les années 70 dans le contexte de la mondialisation.

En effet, le trafic maritime mondial est passé de 2,6 milliards de tonnes en 1970 à 11 milliards de tonnes en 2019 et sa croissance est 2 fois plus rapide que celle de l’économie mondiale. ➔ Conteneurisation et concentration du transport : Pour s’adapter à cette forte demande, les navires deviennent de plus en plus gros: la capacité de navire a été multiplié par 15 entre 1960 et aujourd’hui..

Les spécialisé sont plus compétitif donc et des coûts de transport ont tendance à diminuer et deviennent moins cher que tous les autres moyens de transport. La conteneurisation : C’est la création d’une boîte standardisée qui a révolutionné le transport maritime en permettant un chargement (et un déchargement) facilité des navires.

Sont nés les porte-conteneurs lancés dans une course au gigantisme qui permet de réduire les coûts de transport: de 500 conteneurs à l’origine, ils transportent aujourd’hui jusqu’à 21 000 conteneurs avec une taille de plus de 400 m (400 trains, 1 000 avions). B.

ce qui entraine des formes d’intégrations (interfaces maritimes) ➔ Les routes maritimes : Pour s’adapter, les pour devienneeux aussi plus grand.

Ainsi les principales façcade sont: la façade d’asie orientale, la facade pacifique americaine, la façade atlantique américaine et la nothern range.

Elles sont relié par des routes maritimes.

Une route maritime et un espace où s’effectue les liaisons entre les ensembles continentaux.

La principale est appelé route circurterrestre.

Ces routes sont ordonnées en fonction de la géographie, de la morphologie sous-marine, notamment les tyrando du contexte géopolitique, en prenant en compte à piraterie, mais aussi des conditions climatiques. 14 des 20 premiers ports sont asiatiques, 9 chinois.

Shangai 42 millions de conteneurs. Les détroit comme celui de Malaa, Gibraltar ou Ormuz, ainsi que les canaux transocéaniques dans les isthme, sont aussi des points de passage incontournables, qui doivent s’adapter aux gigantisme des navires.

Les travaux d’agrandissement du Canal de Suez en 2015 ont permis de doubler sa capacité avec une centaine de navires par jour d’ici 2023. De plus, le detroit de Malacca considérée comme l’épine dorsale de la mondialisation Les espaces situés au sud des océans Atlantique et Indien restent encore largement à l’écart de la maritimisation de l’économie mondiale.

Ainsi, l’Afrique ne représente que 4 % du trafic mondial de conteneurs et doit faire face à un manque d’infrastructures qui pénalise les ports africains dont aucun ne figure dans la liste des 100 premiers ports mondiaux. II.

Les mers et océans: entre appropriation, protection et liberté de circulation. A.

Mers er oceans: des espaces reglementés dans la mondialisation ➔ La territorialisation des mers et océans : La Convention des Nations Unies sur le droit de la mer a été signée à Montego Bay en 1982 a posé les règles de la territorialisation des mers et océans en divisant les espaces maritimes en quatre zones : ➢ La mer territoriale (jusqu’à 12 milles marins) dans laquelle un état a la pleine souveraineté. ➢ La zone contigüe (de 12 à 24 milles marins) dans laquelle un état a des compétences de surveillance. ➢ La zone économique exclusive jusqu’à 200 milles soit 370 km qui permet à l’état d’exploiter, de conserver et de géré les ressources naturelles.

Un état peut demander un agrandissement de sa ZÉE si le plateau continentale se prolonge.

donne le droit à l’état d’exploiter les ressources et de construire des îles artificielles. ➢ Au-delà se trouve la haute-mer, librement accessible.

Elle appartient à tout le monde donc à personne.

Elle s’étant sur 55% de la surface du globe La première ZÉE mondiale appartient au USA puis la France avec 10,7millions km2 B.

Des espaces maritimes de plus en plus disputés et surveillés. ➔ La liberté de circulation : Tout les états n’adege pas à la convention de Montego Bay.

La possibilité d’entendre sa ZÉE engendre de nombreux contentieux territoriaux comme dans l’océan glacial arctique ou encore dans la mer de Chine avec l’appropriation des îlots.

Un tribunal international sur les droits de la mer qui siège à Hanbourg en Allemagne a été mis en place pour faire respecter la convention.

La.... »

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