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frida la colonne brisée

Publié le 28/11/2021

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« Le 17 Septembre 1925, une jeune fille mexicaine âgée de 17 ans appelé Frida Kahlo a été la victime d'un terrible accident de bus.

Elle n'a pas été tuée, mais le choc violent eu de terribles séquelles, lui cassant la colonne vertébrale, les côtes, le bassin et la jambe droite.

Il a également endommagé son utérus, lui faisant perdre la possibilité de donner un jour naissance à un enfant. 1) Introduction – Présentation de la peinture → C’est une image présentant une œuvre intitulée « la colonne brisée ».

C’est une peinture créée par l'artiste mexicain Frida Kalho.

Elle est réalisée à la peinture à l’huile.

La date d’exécution de l’œuvre est 1944, date qui nous rappelle bien évidemment l’approche de la sortie de la seconde guerre mondiale.

Frida Kalho est reconnue pour ses œuvres qui témoignent de sa vie, ses pensées, de ses ruptures.

Il ne faut pas oublier que Frida se mit à la peinture après un accident qui lui laissera des séquelles à vie, une colonne vertébrale brisée.

Elle dut palier aux longues heures de convalescence et de souffrance, allongées sur son lit, en pratiquant la peinture comme un moyen d’expression avec un sujet récurrent l’autoportrait.

« La colonne brisée » est peint en 1944 lorsque son état de santé empira et qu’il lui fallut porter un corset de métal. 2) Description et analyse : Cette peinture est un autoportrait, figurative où l’on reconnait Frida aisément.

Ce tableau représente une femme fendue au milieu d'elle- même qui laisse voir ce qui semble être sa colonne vertébrale, représenté par une colonne antique fissurée symbolisant une grande fragilité.

Elle semble retenue par une sorte de corset en fer (on le remarque bien grâce aux reliures) ; ce maintien est également représenté par les clous omniprésents sur l'ensemble de son corps.

Ce corset met en valeur sa poitrine et donc sa féminité.

Elle retient son vêtement en lui donnant un forme comme si elle allait se mettre en mouvement ce qui est impossible vue l'immense faille au milieu de son corps et sa posture extrêmement droite et immobile.

Ses yeux, mis en valeur par ses sourcils, expriment de la souffrance accentuée par ses pleurs (ce n’est pas de la tristesse).

L'arrière- plan représente une sorte de désert déchiré.

C'est un horizon monotone.

Les couleurs choisies n'attirent pas l'oeil mais la mettent extrêmement bien en valeur.

Frida Kahlo est paralysée de la colonne vertébrale, elle peignit cet autoportrait lorsque son état de santé empira et qu'il lui fallut porter un corset de métal.

Ce qui explique son « vêtement ».

Une colonne ionique brisée en plusieurs endroits symbolise sa colonne vertébrale blessée.

La fente dans son corps et les sillons du paysage déchiré, monotone deviennent le symbole de sa souffrance et de sa solitude.

Le Bleu du ciel, en arrière- plan, contraste fortement avec la couleur chair, chaude et lumineuse du corps de la femme.

D’ailleurs, il semblerait que la lumière émane du corps de manière autonome.

Elle est indépendante du paysage désertique en arrière- plan.

Mais nous pouvons très bien envisager un deuxième type de lumière qui viendrait d’au- dessus comme si la représentation de Frida était sous un rayon de soleil malgré le ciel froid et pesant de l’arrière- plan.

Enfin nous pouvons apercevoir une lueur lumineuse par un dégradé léger en bas à gauche du ciel.

Frida y déposait la lumière de manière très subjective (selon ces trois sources lumineuses) et invite le spectateur à pénétrer dans un monde onirique (comme dans un rêve).

D’autre part, à travers une composition basée sur des lignes de construction, l’artiste nous montre qu’il souhaite accorder plus d’importance à la terre qu’au ciel.

En effet la ligne d’horizon est placé très haute dans le tableau et prend ¼ de la surface totale.

La tête se trouve dans le ciel et la posture de son corps permet à la colonne vertébrale, antique d’être sur la. »

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