Frank Lloyd Wright Bâtisseur du retour à l'organique, l'architecte Frank Lloyd

Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Frank Lloyd Wright Bâtisseur du retour à l'organique, l'architecte Frank Lloyd Ce document contient 156 mots soit 0 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Culture générale.

WRIGHT Frank Lloyd. Architecte américain. Né le 8 juin 1867 à Richland Center (Wisconsin), mort le 9 avril 1959 à Phœnix (Arizona). Son père était pasteur baptiste (puis « unitarien »). Après des études à l'Université Madison, Frank Lloyd Wright part pour Chicago, où il travaille avec Louis Sullivan, architecte dégagé des anciennes normes. En 1893, il devient indépendant et la période des « maisons de la Prairie » commence : il projette l’espace intérieur dans le paysage et privilégie l’horizontale dans une perspective de « ligne de terre », de vie vécue (Conley house, Riverside, III. 1908). Il construit aussi des bâtiments commerciaux, gratte-ciel de verre et de métal (R.C.A. building à New York, 1912). Sa lutte contre l’académisme est en passe de triompher, son influence s’étend lorsqu’il quitte femme et enfants pour s’enfuir en Europe (en 1909) avec la femme d’un client. (Il en subira les conséquences financières et sociales pendant vingt ans.) Ce geste ouvre sa seconde période de créativité. En 1914, il construit les « Midway Gardens » de Chicago, « L’Impérial Hôtel » de Tokyo (1916-22) — seul bâtiment qui résiste au tremblement de terre de 1923 —, des villas en Californie. Les années 30 marquent le départ d’un nouvel élan créateur (« Johnson Wax build » à Racine, Wisconsin — l’ensemble de « Talesin West » près de Phœnix — « Hanna House » à Palo Alto, Californie, parmi d’autres). Citons enfin le Musée Guggenheim de New York et la synagogue de Philadelphie, inaugurée quelques mois après la mort de l’architecte. Son Autobiographie date de 1932, Une architecture organique paraît en 1939, An American architecture en 1955 et Testament en 1957.