Français terminal: La foi soulève les montagnes
Publié le 01/06/2022
Extrait du document
«
REPUBLIQUE DU SENEGAL
Un peuple, un but, une foi
Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche
Fascicule de Français
.
La foi soulève
les montagnes
Année Académique : 2013 -2014
1
SOMMAIRE
Avant-propos
Objectifs
Motivation
Première partie : Rappel des courants littéraires
Le Classicisme
Le Siècle des lumières
Le Romantisme
Le Réalisme
Le Naturalisme
Le Parnasse
Le Symbolisme
Le Surréalisme
Deuxième partie : Esthétique des genres littéraires
Etude de la poésie
Etude du roman
Etude du théâtre
Troisième partie : Les exercices littéraires et leurs exigences
Méthodologie de la Dissertation littéraire
Méthodologie du Commentaire composé
Quatrième partie : Sujets de dissertation et citations
Sujets de dissertation à traiter
Explication des citations
3
Avant- propos
Dans la préface de l’un de ses livres Anthony mello écrit : « Ma tâche a été
seulement celle du tisserand ; je ne peux m’attribuer les qualités du coton et du lin.
»
Moi non plus.
Car, comme on le sait, Rédiger un fascicule est un travail difficile qui
exige à la fois des sacrifices, des recherches, de la disponibilité, de la générosité, du
partage, du savoir-faire.
C’est aussi un art de véhiculer des connaissances.
Beaucoup
d’enseignants, de professeurs se trouvent déshonorer par la baisse du niveau des
éléves.ces derniers ont ainsi d’énormes difficultés dans l’apprentissage.
Ils ont en effet
des lacunes qui sont non seulement liées au manque de motivation dans le travail mais
aussi au déficit de bagages intellectuels et de bonnes méthodes dans l’usage des cours.
C’est fort de ces raisons susmentionnées que je m’engage à produire ce fascicule
relativement aux programmes littéraires en classes de seconde, de première et de
terminale afin de contribuer à consolider l‘enseignement et à hisser le niveau à une
dimension salutaire.
Toutefois, loin de chercher l’originalité, encore moins la célébrité, je suis
simplement motivé par le goût et le devoir de donner mon savoir, et par là même de
recevoir de nouvelles connaissances.
Ainsi, certes le visionnaire des profondeurs
sinistres, réclame-t-il, Victor Hugo (qui est mon idole) a tout dit et écrit, il ya des années,
avant que nous ne venions sur terre, mais cela ne nous donne nullement raison de ne
pas apporter notre pierre à l’édifice, car comme l’a si bien précisé Albert Camus : « La
vraie générosité envers l’avenir consiste à tout donner au présent.
»
Bien que tout document scolaire soit, pour le meilleur ou pour le pire, une porte
ouverte aux contributions, aux critiques, aux questions, celui-ci n’est qu’une sorte de
lanterne permettant à l’élève de mieux s’appesantir sur les œuvres, les textes et les
documents aux programmes qui lui sont destinés.
Ainsi, un tel fascicule vise à aider les
élèves à avoir plus de clarté sur les exercices littéraires et surtout en classes d’examen.
Cependant, je déconseille aux élèves de mémoriser machinalement, tels des
énergumènes, tous les arguments qui y sont développés et d’en user pour faire une
dissertation sans que ceux-ci en soient nécessaires, c’est-à-dire avoir quelques rapports
avec le sujet.
Les sujets étant différents les uns des autres, on ne peut toujours suivre le
même fil d’Arian.
De plus, la dissertation littéraire n’est pas une mémorisation .C’est
une réflexion personnelle, qui consiste à jauger le degré d’intelligence de l’élève.
Enfin, je ne saurais terminer sans remercier certaines personnes qui ont
généreusement et ouvertement contribué à la réussite de ce fascicule, car, dit-on, la
reconnaissance n’est pas une obligation, mais un devoir à rendre.
Ainsi, je leur suis tous
reconnaissant pour les avoir cités nommément ci-dessous :
Monsieur Khaya : professeur de français au nouveau lycée de Louga.
4
Monsieur Ndiaye : professeur de français au nouveau lycée de Louga.
Monsieur Pape Moussa Sy : professeur de français parmi les pédagogues des Parcelles
Assainies à Dakar.
Monsieur El hadji Thioye : étudiant au département de lettres modernes à l’U.C.A.D.
Monsieur Lamine Diagne : étudiant au département de philosophie à l’U.C.A.D.
Monsieur Ngagne Dia : étudiant à la faculté de droit à l’U.C.A.D.
Monsieur khadim Hann : étudiant à la faculté de droit à L’U.C.A.D
Mademoiselle Mame Diarra Bousso Faye pour son soutien matériel.
Mademoiselle Fadouma Diallo pour sa disponibilité.
N.B : en plus d’être un signe d’incivilité notoire, au sens clinique du terme, une preuve
patente de malhonnêteté intellectuelle, photocopier une quelconque œuvre est le crime le
plus intransigeant qui puisse exister contre l’humanité pensante.
Par contre, l’acheter
revient à un acte qui sera inscrit, à jamais, dans la cathédrale des charités géniales, où la
sagesse demeure un nec plus ultra.
Néanmoins, j’adjure à tous ceux qui le liront de bien
vouloir m’interpeller sur toutes les fautes ou erreurs qu’ils y auraient constatées.
Numéro de tel : 78 210 99 22
5
Les courants littéraires
I.
Le Classicisme
Le Classicisme est un courant artistique et littéraire qui est apparu dans la seconde moitié du
17e
siècle ; plus précisément entre 1661 et 1685 sous le règne de Louis 14.
Il est à la fois un
idéal moral, social et artistique.
Il se distingue du Baroque par la volonté de ses amateurs de
remettre l’ordre dans l’inspiration et dans l’écriture.
Il exige des principes.
Les principes du classicisme
Le classicisme n’est pas une rupture brutale et définitive avec le passé.
Son projet est
esthétique.
Les classiques imitent les anciens dans leur production littéraire, sans pour
autant renoncer à faire une œuvre personnelle.
L’art classique fixe certaines règles prescrites par l’académie française :
-Le respect de la bienséance : c’est ce qui est conforme à la bonne conduite.
Eviter de
choquer en heurtant les principes politiques, moraux et religieux défendus par le public.
Il
faut en outre se limiter de représenter la violence sur la scène théâtrale en insistant sur les
héros honnêtes, punir les méchants.
C’est pourquoi dans son Art poétique Nicolas Boileau
conseille « que votre âme et vos mœurs, peintes dans vos ouvrages, n’offrent jamais de
vous que de nobles images »
-Le respect de la vraisemblance.
En d’autres termes garder la couleur locale, historique et
naturelle du fait narré ; peindre les personnages dans une cohérence parfaite des caractères,
des actions et des situations.
Il faut préciser que la vraisemblance c’est tout ce qui est
proche de la vérité et qui correspond au goût du public.
-L’utilisation de la raison dans la création ; car l’art doit coller à la nature humaine en
peignant les types littéraires : « que la nature soit votre étude unique » dira Boileau
- Le respect de la règle de construction d’une pièce théâtrale ; l’exposition, le nœud de
l’action, les diverses péripéties et le dénouement.
- La règle des trois unités : c'est-à-dire l’unité de temps (24 heures) ; l’unité de lieu (un seul
lieu) ; l’unité d’action (une seule intrigue).
C’est ce que Boileau résume encore dans sa belle
formule dans son Art poétique « qu’en un lieu, qu’en un jour, un seul fait accompli tienne
jusqu'à la fin tout le théâtre rempli ».
II.
Le Siècle des lumières
L a fin du 17e
siècle a annoncé des considérations sociopolitiques et des conceptions à la fois
critiques et philosophiques.
C’est sous cette aube nouvelle que sort le 18e
siècle avec une
conscience étincelante : l’esprit des lumières.
6
Cette période est marquée par un bouillonnement intellectuel philosophique, politique et
beaucoup de polémiques.
Ce courant de pensée cherche à promouvoir la raison et l’esprit
critique pour faire reculer les frontières de l’ignorance.
Les principes des Lumières
Ils tournent principalement autour de la ‘’Raison’’.
Elle est le baromètre à partir duquel tout
se mesure ; elle exige de l’homme plus d’esprit critique et de rigueur.
C’est pourquoi Voltaire
conseille de ne rien accepter au préalable sans le faire passer au crible de la raison.
Ce qui
fait déjà une méthode de réflexion et d’apprentissage de la réflexion.
En effet, le 18e
siècle
correspond avec l’esprit d’une recherche dense et d’un questionnement important sur les
réalités sociales, morales, politiques et religieuses.
C’est une véritable émancipation de la
pensée dont la large diffusion est assurée par l’encyclopédie.
Car cette dernière se veut un moyen de vulgarisation scientifique destiné aux masses, un
ouvrage de référence pratique et complet.
Elle a pour ambition de faire le bilan el la somme
des connaissances.
Le 18e
siècle est également une véritable ruée de la science.
Cette dernière est reine et
pousse des auteurs comme Voltaire à traduire en poèmes les théories de Newton.
On exige
sous ce rapport une primauté du savoir rationnel, de l’observation, de l’expérimentation,
fondement de la rigueur scientifique.
Selon Diderot, les philosophes veulent renverser
« toutes les barrières que la raison n’aura point posées ».
L’esprit d’examen est en effet
appliqué dans le champ da la science, de la religion, de la politique entre autres.
Cet
engouement pousse les écrivains philosophes à passer au peigne fin de tous les thèmes qui
interpellent la société.
Les thèmes des Lumières
Siècle critique, le 18e
siècle ne manque pas de s’intéresser de très près aux problèmes qui
agitent la société.
D’abord les philosophes fustigent les préjugés qui infestent la vie et
polluent la société : l’intolérance, le fantasme, le despotisme, l’autoritarisme….Cette
critique, cette dénonciation constitue la trame romanesque de la quasi-totalité des œuvres
voltairiennes telles Zadig, Candide et l’Ingénu.
En revanche, les Micromégas est une
véritable apologie de la science et de son progrès mais également une dénonciation contre
la vanité de la métaphysique ».
C’est pourquoi il écrit : « Les hommes tombent sur quelques
vérités scientifiques ; mais sur les questions métaphysiques, les discussions sont sans
fin.
».
III.
Le Romantisme
Le romantisme est un mouvement artistique et littéraire qui va s’affirmer vers la fin du 18e
siècle.
Il est en rupture avec les règles, le goût, le beau du classicisme.
Les incontestables
précurseurs du romantisme sont : Madame de Staël, Chateaubriand et Benjamin Constant.
7
Les principes thématiques du Romantisme
Les thèmes romantiques sont nombreux et relatifs tous aux émotions fortes, aux sensations
profondes.
Ainsi, ils correspondent à l’expression du « moi » et à une véritable effusion
lyrique.
Le poète accorde une importance capitale à la sensibilité ou le cœur, secoué par les
problèmes sociaux, laisse éclater des « purs sanglots ».C’est la raison pour laquelle Oberman
le héros de Senancour s’indigne en disant : « J’avais besoin de bonheur, j’étais né pour
souffrir ».Il saigne de douleur et endosse toute la souffrance humaine comme Lamartine ; ce
dernier répand douloureusement dans l’univers.
Mieux, le bonheur s’éloigne et n’est
appréhendé que dans la nature qui berce et caresse le poète en détresse.
Ce qu’il va
chercher dans le « Vallon » avec sa formule magique : « Mais la nature est la qui t’invite et
qui t’aime/plonge-toi dans son sein qu’elle trouve toujours ».
En effet, abattus par la civilisation corrompue, désabusés par les mœurs, désorientées par
les décisions politiques peu adéquates, les romantiques orientent leurs aspirations vers un
« ailleurs », vers l’infini ou vers un sentiment religieux.
Telles sont la quête de Vigny dans les
Monts Oliver et la méditation de Lamartine dans les Harmonies poétiques et religieuses.
Ce désir d’évasion pousse le poète romantique à feuilleter les pages du passé pour y trouver
confort et réconfort ; il veut simplement échapper au mal du siècle.
IV.
Le Réalisme
Le Réalisme est un mouvement littéraire et artistique de rupture et d’innovation né vers
1830.Une rupture qui se manifeste par une réaction contre le Romantisme.
Les réalistes
veulent s’intéresser à la chose réelle en s’éloignant totalement de l’idéalisme et des
effusions lyriques.
Cette évolution révolutionnaire trouve son originalité dans l’application de la science à la
littérature.
Parce que le positivisme qui cherche à tout expliquer par la science exerce son
influence dans ce siècle.
L’homme retrouve sa confiance dans les progrès de la science et
s’appuie fortement sur la raison.
Les principes du Réalisme
Les principes des réalistes sont :
-Le souci de la vérité : Les réalistes visent à reproduire la réalité la plus fidèle possible.
En
fait, ils veulent une peinture exacte et objective de la réalité.
Cette entreprise s’appuiera sur
le sens de l’observation, de la documentation et de l’application des méthodes scientifiques.
Autrement dit le réaliste est comparable à un savant qui se soucie du moindre détail dans
ses recherches et dans ses analyses.
-Le refus de l’imagination : Pour les réalistes, l’artiste ne doit pas inventer ni chercher dans
son imagination, il doit tenter de représenter fidèlement la réalité sans aucune modification
en se recourant à l’enquête et à la documentation.
8
- La recherche de l’impersonnalité : L’artiste doit décrire le réel rien que le réel, il doit
montrer son objectivité.
En effet, il s’efforce de bannir les sentiments personnels car
l’écrivain a le devoir de garder sa neutralité dans ses œuvres.
Celui-ci s’impose un silence
total pour éviter tout jugement sur ses personnages.
Force est de préciser qu’il doit craindre
le subjectivisme.
Selon Flaubert : «un romancier n’a pas le droit d’exprimer une opinion sur quoi que ce
soit ».C’est pourquoi il reste ferme dans son langage ; insensible et impassible sur son
histoire dans Madame Bovary.
Les limites du réalisme
Les réalistes ont produit une littérature abondante.
Cependant, le projet de décrire
soudainement la réalité va se heurter aux limites objectives de l’art.
En effet, l’œuvre d’art
ne peut pas atteindre la neutralité, car l’artiste a du mal à cacher sa sensibilité.
C’est ce qui
fait dire à Guy de Maupassant « le réaliste, s’il est un artiste, cherchera non pas à nous
donner la photocopie banale de la vie mais nous en donner une vision plus complète, plus
saisissante et plus probante que la réalité humaine ».
Autrement dit quelle que soit la
volonté du romancier de peindre objectivement le réel, il ne peut manquer d’exprimer dans
son œuvre une part de sa sensibilité.
V.
Le Naturalisme
Le naturalisme s’inscrit dans la même dynamique que le réalisme.
Il prolonge son ambition
dans la représentation de la réalité.
En effet, les naturalistes, influencés par les découvertes
scientifiques : méthode expérimentale de Claude Bernard et le positivisme d’Auguste
Comte, vont préconiser une démarche scientifique fondée essentiellement sur l’observation
et l’expérimentation.
Une telle démarche aura permis aux auteurs comme le chef de file Zola
de dégager la loi du déterminisme.
Autrement dit c’est le milieu qui influence le
comportement de l’individu.
Les principes du naturalisme
L’art des écrivains naturalistes repose sur certains nombres de principes que sont : l’exigence
de la vérité, l’observation et l’expérimentation, le refus de l’imagination et le culte de
l’impersonnalité.
Les naturalistes prolongent d’abord le principe d’objectivité, de vérité et
d’exactitude du réalisme.
Ils empruntent ensuite à la science expérimentale toute sa
ressource et ses outils pour vérifier les déterminismes sociaux, leur impact sur l’individu.
Le
romancier est à la fois expérimentateur et observateur.
Telle est la théorie de Zola dans le
roman expérimental.
Le romancier est fait d’un expérimentateur et d’un observateur.
L’observateur, chez lui, donne les faits tels qu’il les a observés, pose le point de départ,
établit le témoin solide sur lequel vont marcher les personnages et se développer les
phénomènes.
9
Les limites du naturalisme
Malgré leurs ambitions de satisfaire toutes ses exigences, les romanciers naturalistes ont
butté sur leur sensibilité.
En outre, si d’une part les frères Goncourt Jules et Edmond, qui
ont voulu strictement respecter le principe de l’impersonnalité, ont produit des œuvres
stériles, sans gout littéraire ; d’autre part Zola, dans l’épilogue de Germinal, non content
d’imaginer la victoire future des mineurs sur leurs patrons, affiche clairement ou sympathie
sur les premiers.
D’ailleurs ce projet naturaliste est un échec car il veut assimiler l’art à la
science ; qu’en fait, la science vérifie tandis que le romancier ne vérifie pas.
VI.
Le Parnasse
Le Parnasse est une révolution poétique, un mouvement littéraire qui s’affirme contre le
Romantisme.
Il se singularise des autres courants par son principe fondamental : ‘’le culte
du beau’’.
Théophile Gautier en est le théoricien, le chef de file qui a commencé par se détourner de la
sensibilité en proclamant : « un homme ne doit jamais laisser de la sensibilité dans ses
œuvres ».Les parnassiens prônent l’impersonnalité de l’art à tout point de vue : « l’art pour
l’art ».
Les principes du Parnasse
L’art parnassien s’appuie sur les principes esthétiques suivants :
-Le culte de la forme et du rythme : les parnassiens assignent au poète un véritable travail
de création sur la forme, c’est-à-dire le « culte du beau » doit être le seul objet de recherche
artistique.
C’est pourquoi Théophile Gautier écrit : « Sculpte, lime, cisèle / Que ton rêve
flottant /Se scelle /Dans le bloc des résistants ».Pour dire que le poète doit emprunter au
monde de l’artisanat tous ses outils pour bien travailler son poème.
-L’impersonnalité de l’art : les parnassiens se démarquent de l’effusion sentimentale qui est
la caractéristique principale de la littérature romantique.
Pour eux, l’artiste ne doit pas
s’impliquer dans la politique et la morale car en aucune façon il ne peut soumettre son art
au service d’une cause et que la poésie engagée fausse les nobles ambitions de la poésie.
Selon Baudelaire « Le principe de la poésie est strictement et simplement l’aspiration
humaine vers une beauté ».
VII.
Le Symbolisme
Le 19e
siècle est incontestablement l’une des périodes les plus riches en histoire littéraire et
en effervescence intellectuelle.
Après le romantisme, le réalisme, le naturalisme et le
parnasse, un autre courant surgit avec ses conceptions artistiques et ses considérations
théoriques : le Symbolisme.
Il réagit contre la prétention scientifique du naturalisme sous
l’impulsion de son précurseur Charles Baudelaire.
Dans l’esprit symboliste le monde
physique est fait de représentations..
»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- Les montagnes dans l’espace français métropolitain
- Teilhard De Chardin, Pierre1PRÉSENTATIONTeilhard De Chardin, Pierre (1881-1955), prêtre jésuite français, géologue, paléontologue, philosophe et théologien, connu pour son interprétation évolutionniste del'humanité et de l'univers qu'il pense compatible avec la foi chrétienne.
- Préparation à l’oral du baccalauréat de français Analyse linéaire n°4 - Jean-Luc Lagarce, Juste la fin du monde, 1990 (épilogue)
- devoir 2 français cned La Leçon, d’Eugène Ionesco
- Vocabulaire français