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Finlande (2005-2006): Affrontements politiques et sociaux

Publié le 15/09/2020

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« file:///F/dissertations_pdf/0/451028.txt[15/09/2020 14:08:39] Finlande 2005-2006 Affrontements politiques et sociaux En avril 2006, le taux de chômage se situait à 8,6 %, contre 9,2 % un an plus tôt, et l’inflation annuelle pointait à 1,7 % en mai 2006.

Mais la croissance du PIB n’a été que de 2,1 % en 2005, en partie à cause d’un long conflit dans l’industrie forestière et papetière, qui a alterné grèves ouvrières et lockouts patronaux, au printemps 2005.

Le conflit a porté sur la suppression d e certains jours fériés et sur le recours accru à la sous-traitance, mais il a également révél é la fragilité d’une industrie victime de la baisse du prix du papier.

Employant des dizaines de milliers de Finlanda is, cette activité restait vitale pour les régions rurales.

Le 29 janvier 2006, la sociale-démocrate Tarja Halonen a été ré élue, pour six ans, présidente de la République avec 51,8 % des voix, contre 48,2 % au candidat du Parti d e la coalition nationale, le conservateur Sauli Niinistö.

T.

Halonen avait appelé à la dé fense de l’État-providence et refusé d’envisager une prochaine adhésion du pays à l’OTAN.

Son adv ersaire s’était au contraire signalé par des commentaires positifs sur la dimension européenne de l’OTAN.

Davan tage que le résultat, attendu, plusieurs points ont retenu l’attention dans la perspective des él ections législatives de mars 2007 : le caractère serré du scrutin, la défaite au premier tour du candi dat du Parti du centre, le Premier ministre Matti Vanhanen, et enfin le très bon report des voix centristes sur l e candidat conservateur (alors que le Parti du centre était au gouvernement aux côtés du Parti social -démocrate et du Parti suédois).

Chacun s’est demandé si les deux grands partis représentant la bourgeo isie n’avaient pas signé un accord secret pour former un gouvernement au détriment des sociaux-démocrates.

La Finlande s’est préparée à assumer la présidence de l’ Union européenne (UE) de juillet à décembre 2006.

Parmi ses priorités, elle a annoncé, d’une part, son inte ntion de conforter la « stratégie de Lisbonne » et les politiques d’innovation et de recherche à l’éche lle européenne.

D’autre part, elle a affiché l’ambition de mettre en place des moyens civils et militaires dans la gestion des crises internationales, et de promouvoir le dialogue avec la Russie ou la coopération septentrio nale.

Après le report, en 2005, de plusieurs procédures de ratification du projet de Constitution europé enne, le Premier ministre M.

Vanhanen a émis l’idée d’amender le traité existant.

Il d evait par ailleurs préparer l’adhésion de la Bulgarie et de la Roumanie, et gérer les négociations d’entré e avec la Croatie et la Turquie.. »

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