Fiche texte T. Chevalier confiance institutionnelle des jeunes

« UFR de sciences sociales Département de sociologie & géographie / Master 1 SQD Âge et génération Année académique 20 21 -2 2 du 09 11 20 21 Joyce Nguele Zang - [email protected] Travail 1 I.

Introduction Tom Chevalier est un chargé de recherche au laboratoire Arènes.

Ses recherches sont tournés vers les politiques publiques .

Dans l’article La confiance institutionnelle des jeunes en Europe.

Quel effet de l’action publique ? , publié en 2019 dans la Revue française de sociologie , il cherche a montrer l’importance des études sur l’action publique notamment pour la confiance institutionnelle des jeunes d’un pays d’Europe à un autre Pour être durables, les systèmes démocratiques doivent être considérés comme légitime .

Cette condition préalable est la capacité du système politique à générer et à maintenir la conviction que le système politique existant est le plus adapté à la société.

Cette légitimité ce construit au travers de la confiance de la population.

Il faut qu’ils fassent confiance aux institution, aux acteurs publiques et à la communauté politique. Quelque soit la façon dont les jeunes sont considérés, comme une génération ou autre, il est important d'étudier la confiance institutionnelle des jeunes, car il s'agit de savoir la relation entre « citoyens à venir » et le régime politique en place.

la majorité des études ayant été faites la confiance institutionnelle des jeunes se sont contenté d’observé la tendance générale, les disparité qu’il peut y avoir entre les pays n’ont pas été étudié.

A l’intérieur même de la catégories des jeunes il y a des différence entre le jeunes NEET ( « Not in Education, Employment or Training » donc les jeunes ni scolarisés, ni en emploi, ni en formation ) et les autres autres ( 0,8 point dans les pays d’Europe continentale, 0,7 dans les pays Scandinaves, 0,5 dans les pays Anglo-Saxons, et 0,3 point dans les pays Méditerranéens, pour une différence. »