Databac

Fiche dissertation Bac français olympe de gouges, juste la fin du monde, la peau de chagrin

Publié le 22/05/2024

Extrait du document

« Olympe de Gouges : I). A).

Contexte historique B).

Résumé du livre Structure du livre, qlq phrase marquante comme histoire d’épître à la reine C). II).

ODG une écrivaine engagée A).

Écriture pour libérer Avec phrase forte « les mère fille sœur… » -> appelle à toute les femmes de la nation et pas petit grp « Femme réveillé toi ! » (analyse linéaire) B).

Son combat pour la liberté C).

Ce qui a changé grâce à elle Pour ODG l’écriture est un modèle d’action. « Ecrire et combattre pour l’égalité » : 2 verbes coordonnées qui témoigne de 2 action différente Ecrire : renvoie à la figure de l’écrivain et de l’intellectuel. Combattre : on a une idée de révolte, des mots qui deviennent les armes. Face à la réunion de ces 2 verbes on s’interroge sur les fonctions de la littérature, les pouvoirs de l’écriture et sur l’engagement de l’écrivain. La notion de l’engagement renvoie à la littérature d’idée, les auteurs proposent une réflexion à travers leurs écrit et peut provoquer les débats de société.

Ces débats peuvent être sociaux, politique mais l’objectif est une prise de conscience.

Et c’est ce que font les écrivain engagé c’est-à-dire une stratégie argumentatif qui cherche à convaincre ou persuader le lecteur.

Ils ont recours à différent registre pour exprimer leurs idées sous différentes manière et provoquer différentes émotions. Un écrivain engagé : c’est être pour l’égalité des sexes et des races, détruire les préjugé envers les femmes, le blâme des hommes pour leurs comportements et qui propose un nouveau modèle de société égalitaire et harmonieuse. DDFC est une œuvre de combat car elle y développe une pensée d’avant-garde : œuvre de ODG s’inscrit dans la pensé des lumières, dénonce l’attitude des révolutionnaires qui ne respectent pas les principes des lumières dans le DDHC, y formule des proposition concrète : écrire=agir. Inconvénients de l’écrit : on perd la dimension spontanée et ne permet pas le dialogue. ODG utilise une éloquence audacieuse et insolente : ODG prouve une parfaite maitrise des règles de l’éloquence, ODG implique ses lecteurs grâce à de nombreuses interpellation pour les accuser les mobiliser, ODG utilise le registre polémique→ donne à son œuvre un caractère de pamphlet « le mariage est un tombeau de la confiance et de l’amour » → critique du mariage vu comme une institution religieuse qui gâche la confiance entre les H et les F. Siècle des lumières : Citations + interprétations : 1).

Elle veut combattre pour l’égalité mais elle sait que seul elle ne fait pas le poids ( ne peut changer les choses) → décide de rallier la reine a elle comme dans épitre a la reine « soutenez, madame, une si belle cause ; défendez le sexe malheureux.

» la si belle cause ici c’est les droits des femmes + égalité entre H et F et sexe malheureux ici c’est la femme car dans sa lettre elle parle du sexe de la reine «à donner à votre sexe toute la consistance.

» en plus de cet argument elle met aussi en place une stratégie argumentatif pour convaincre la reine : elle s’adresse à la reine avec honnêteté, elle rapport la haine que les révolutionnaire ont face à elle, elle dénonce l’hypocrisie des courtisans et tout cela c’est pour convaincre reine mais en vain elle ne réussit pas.

Cependant elle ne compte pas que sur la reine pour soutenir sa quête mais a aussi toute les femmes « Les mères, les filles, les sœurs, représentante de la nation.

» on voit un rythme ternaire permet pour ODG de se présenter comme porte-parole des femmes, elle parle au nom toutes les femmes on a comme une solidarité qui se forme autour d’elle.

ODG est comme vouer à rétablir la position des femmes en pointant les hommes et à les rendre responsable de la situation « L’homme esclave a multiplié ses forces, a eu besoin de recourir aux tiennes pour briser ses fers.

» cependant on peut aussi voir une union de la femme et de l’homme au nom de la liberté ODG veut mettre les F en avant grâce à la révolution française.

En effet, le nom « force » désigne la journée du 5 et 6 octobre 1789 ou les F ont envahi Versailles pour réclamer du pain. Nous pouvons voir que c’est grâce au soutiens des F que les H ont réussi à « briser ses fers » puisque c’est une métaphore pour désigner leurs liberté. 2).

Malgré sa volonté de vouloir réunir toutes les femmes sa démarche finit quand même individuel car ses textes ne toucherait pas les femmes aisés car elles ne voient pas forcément l’intérêt de se mettre les H à dos, elle croient au patriarcat et cela ne les posent pas de problème du moins elles n’ont pas forcément la volonté de faire bouger les choses, les femmes du milieux populaire ne sont pas suffisamment pris en compte et nous avons avec un exemple bien précis de ce phénomène avec les tricoteuse des jacobines.

Ce sont des femmes qui tricotaient tout en assistant aux débats dans les assemblées depuis les tribunes et même elles n’avaient pas le droit de vote elles pouvaient en moment de crises quitter les tribunes et prendre part à l’affrontement.

C’était un termes péjoratif car les femmes devaient normalement être dans leurs maisons se retrouve à tricoter en public et à participer à la vie politique en effet on voit que les H ont réduit les F dans une case bien précise, c’était eux qui contrôlait la politique, le foyer, la société, la vie des femmes et que sans leurs accord il n’y aurait pas de changement en effet c’est bien une des raison pour lesquels la DDFC a été oubliée : il y a le refus d’une grande partie des hommes notamment les députés. 3).

ODG ne cherche pas a remplacé la DDHC mais la compléter et ne veut pas expulsé les H.

mais veut prendre en considération les F en effet dans le préambule elle réécrit les articles en prenant en compte les F « La femme nait libre et demeure égale l’homme en droit » cette citation proviens de la DDFC d’ODG et « les hommes naissent et demeurent libres et égaux » cette citation provient de la DDHC de 1789.

Nous voyons qu’ODG a bien expliciter que cette loi en intégrant les nom Femme et le nom Homme contrairement à la DDHC ou le nom Homme fait référence à l’homme et a la femme.

De plus le titre souligne universalité mais il n’y en a pas donc hypocrisie des H car ils ne veulent pas d’égalité entre H et F en effet les F sont éduqué pour devenir des futures épouse, elles dépendent souvent de leurs pères, de leurs mari ou de leurs familles et même s’il n’y personne c’est le couvant qu’elles dépendent.

Elles ont par ailleurs aucun droit de propriété ce qui souligne le fossé entre les H et les F.

elle fait donc un réquisitoire re contre la domination des H et c’est bien des chaines qu’elle veut s’en défaire et par la même occasion défaire les chaines de toutes les femmes sans pour autant bannir les H.

et c’est dans ce but que la DDFC a été écrite. 4).

ODG veut que les F prenne conscience de la situation et se révolte contre la domination des H comme dans le Postambule « Devenu libre il est devenu injuste envers sa campagne .

Ô femme ! femme, quand cesserez-vous d’être aveugle ? » nous voyons dans cette citation qu’ODG expose tout d’abord le comportement des H sur un parallélisme de construction « devenu libre, il est devenu injuste » souligne une opposition entre l’adj libre et campagne, nous pouvons voir un paradoxe car la liberté obtenu est associé à une injuste subit par les F alors que avant la révolution la personne qui subissait cette injustice était « l’homme esclave ».Après avoir montré que les malheurs des F était dû à la domination des H elle veut par la suite que les F prenne consciences de la situation et leurs part de responsabilité comme avec l’apostrophe Femme en répétition et au pluriel qui souligne le registre polémique de la citation.

En effet, ODG attaque les F de manière virulente car pour elle les F sont en partie responsable de leurs sort. Juste la fin du monde : Il y a 2 catégorie de personnage : -Louis, celui qui est parti, qui a quitté le cercle familiale -Les autres personnage (Suzanne, la mère et Antoine qui vivent dans la maison familiale). Terme crise : c’est une manifestation brusque et intense marqué par une rupture dans une période limité et qui provoque un changement général décisif en bien ou en mal. Au théâtre la crise désigne le nœud de l’action dramatique caractérisé par un conflit intense qui doit conduire au dénouement. Le protagoniste est en crise car sa mort prochaine, le retour après 12ans pour annoncer sa mort..... »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles