Fiche de révision TEXTE 4 : scène d’exposition de l’île des esclaves

« Fiche de révision TEXTE 4 : scène d’exposition de l’île des esclaves 1-Présentation auteur : Auteur : Marivaux est un écrivain et dramaturge français du XVIIIe siècle.

Il est connu pour ses pièces de théâtre, dont "L'île des esclaves" est l'une des plus célèbres.

Marivaux écrit L’île des esclaves le 5 mars 1725.

Il s’agit de sa dixième pièce et de la première d’un genre nouveau : la comédie philosophique qui naît durant le siècle des Lumières. Œuvre "L'île des esclaves" est une comédie en un acte, écrite en 1725.

L'histoire se déroule sur une île fictive où les rôles sociaux sont inversés : les maîtres deviennent des esclaves et les esclaves deviennent des maîtres.

Cette pièce explore donc les thèmes de l'égalité, de la justice et de la quête de liberté. Accroche : L'accroche de cette scène est donc le choc entre les personnages et le retournement de leurs rôles habituels, offrant ainsi une réflexion sur les injustices et les préjugés de leur société d'origine 2-Situation extrait : Dans cette Première scène, Arlequin et Iphicrate s’échouent sur une île utopique sous l'autorité d'un ancien esclave du nom de Trivelin.

On voit alors les maîtres devenir esclaves et les esclaves devenir maîtres.

Une dispute éclate entre Arlequin (l'esclave) et Iphicrate (le maître) qui réalise assez vite que son pouvoir est menacé sur cette île alors que pour Arlequin, c'est l'occasion de vivre en toute liberté sur cette île idéale 3- Lecture : 4- Problématique : Ainsi, nous nous demanderons comment cette scène introduit une pièce dans laquelle l’ordre social est renversé 5- PLAN : 1er MVT : scène conflictuelle (L1à12.) // 2 MVT : revendication de justice (L13 à 23.) 6- Descriptif : L.1 : didascalie = difficultés a contenir sa fureur / décalage didascalie et réplique / apostrophe « mon cher Arlequin » = pour attendrir son valet L.2/3 : réponse « mon cher patron » = ironie / antiphrase « vos compliments me charment » et « le gourdin est dans la chaloupe » = critique.... »