Fiche de révision : À celle qui est trop gaie (texte 3)

« Fiche de révision : À celle qui est trop gaie (texte 3) Introduction : Charles Baudelaire est un écrivain du 19e siècle, il était le poète de la modernité.

Une caractéristique de Baudelaire était son indépendance, c'est-à-dire que bien qu'il fût un défenseur du romantisme, d'autant plus qu'il était un admirateur de Victor Hugo, il n'était attaché à aucun mouvement particulier.

Il a également été décrit comme un pionnier du symbolisme.

Charles Baudelaire a écrit un recueil de poèmes divisé en 6 sections, Les Fleurs du mal, en 1857.

Les Fleurs du mal fut condamné pour « atteintes aux bonnes mœurs ».

En effet Baudelaire élabore une beauté nouvelle, puisant le sublime dans le sordide, ce qui a pu choquer la société bien-pensante de l’époque.

Son objectif était donc de faire de la poésie un art descriptif, et Paris était l'un des nombreux thèmes qu’abordait souvent Baudelaire.

"À celle qui est trop gaie" est un poème qui explore la critique dissimulée de la gaieté excessive d'une femme.

À travers l'utilisation de métaphores, d'images suggestives et d'une tonalité ironique, Baudelaire expose sa perception de la superficialité, de la fragilité et de l'évitement de la réalité associés à cette gaieté feinte. Problématique : Comment Charles Baudelaire critique-t-il la gaieté excessive dans ce poème ? Mouvement : - 1er mouvement (1-16) : éloge de la femme aimé - 2ème mouvement (17-24) : humiliation du poète par la nature - 3ème mouvement (25-36) : fantasme exprimer par la violence Analyse : - Titre → allusion à une personne féminine trop joyeuse.

C’est une critique/reproche Ce poème est destiné/dédicacé à la femme aimé - Vers 1 → éloge de la femme, portrait mélioratif.

Proximité, complicité → il la tutoie Caractéristique de la femme aimé, impression d’énergie, de rythme - Vers 2-4 → 2 comparaisons de l’ordre du paysage → nature enchanteresse, légère Énumération d’éloge de la femme → très belle comparer à un beau paysage - Vers 5-8 → champs lexical de la lumière.

Débordement de santé « qui jaillit ». Description du corps en faisant son éloge → B.

reprend le blason.... »