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Fiche de Lecture “Les mythes politiques de colonisation et décolonisation en Afrique” de Georges Balandier.

Publié le 12/10/2022

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« Mun Killian N°Étudiant: 22009930 Université Toulouse 2 Jean Jaurès Année Universitaire 2021-2022 AE00202T - L'anthropologie et ses mondes (textes) Fiche de lecture Enseignante:Audrey Rousseau Dans cette fiche de lecture nous allons étudier le texte “Les mythes politiques de colonisation et décolonisation en Afrique” de Georges Balandier. Georges Balandier est un sociologue et ethnologue Français qui est née au début du 20eme siècle.

C’était un auteur relativement engagé politiquement.

Il a vécu la deuxième guerre mondiale, il fut d’ailleurs résistant. Il à fait des terrain au Sénégal et en Mauritanie.Durant sa vie il vécut en Guinée où il fondera la section sociologie de l’institut d’étude centrafricain. Dans son travail il critique notamment la situation coloniale et il a fait des ethnographies sur des questions liées au pouvoir colonialiste. Le texte est un article tiré des “Cahiers Internationaux de sociologie”, il s’agit de la page 85 à la page 96 du volume 33 paru en 1962.

Les cahiers internationaux de sociologie sont une revue qui éclaire sur les théories et les pratiques sociologiques du moment. Tout d’abord l’auteur nous explique comment les sociétés du sud du Sahara sont perçues.Il explique que certains ethnologues pensent que ces sociétés se sont formées et se structurent autours de mythe.

Le mythe sert de base à leur société et permet la reproduction sociale. Mais l’auteur relève que cette vision des choses, le mythe empêcherait de à la société de subir des changement dû à des événement extérieur. Il précise alors que d’après lui passer à côté de ces aléa c’est passer à côté de certains points essentiels. Il développe en expliquant que oui la mythologie à valeurs de guide et des fondements de la société, en effet les société ont bâti des valeurs et de façons de faire en rapport direct avec leur croyance.

Le mythe à aussi une valeur “d'idéologie” qui permet d’évoluer de progresser. Ces mythes sont utilisés par les gens au pouvoir de définir les lieux et les organisations qui ont le pouvoir.

Le pouvoir politique se met alors en œuvre sur les mêmes bases et en se servant des mythes.

Ce qui fait passer le mythe, du mythe à quelque chose de tangible et que l’on vit vraiment.

On comprend ici que le mythe justifie en partie les mœurs et la morale d’une société mais que surtout il subit une évolution dans sa représentation et dans son intérêt. Il vient dans cette partie de commencer à définir et à borner le sujet en abordant les grandes idées et en partageant le début de son avis. Une fois ces rappels faits, il en vient à la question de la colonisation et de son impact sur les mythes Africain.

Il dit que ceux-ci ont subi des changement qui révèle en effet des changement subis en raison de la colonisation. Il retient alors trois moment,différent et qui mettent en lumière les differentes utilisation du mythe.Il précise que ces trois moments sont, reconnaitre la colonisation, ont la subit et on se situe dans cette nouvelle forme de vie.

Puis on réagit à cette domination, on se manifeste, on s'exprime.

Enfin se battre pour son indépendance, qui a pour conséquence la transformation du mythe en une “doctrine politique”. Dans ce début de texte, il définit les termes et les idées qui constituent son titre.

De plus, il explique clairement son point de vue et ce que son propos va développer et en quoi son sujet à un intérêt. S’en suit alors deux remarque de l’auteur, en premier il explique que lors de la canalisation la réaction au début n’est pas politique, on retrouve les protestation dans d’autres spheres.La deuxième concerne le “but politique”, il souligne que les Africain on pendant longtemps abordé un posture qui nié le colonialisme plutôt qu’une posture qui viserait à changer les inégalité.

Ces deux remarques sont justifiées par l’auteur comme aidant à comprendre ses exemples. L’auteur commence son développement par la présentation de son premier point “Mythe et intégration du fait colonial”.

On comprend alors que d’une vision assez globale la colonisation est vécue comme une invasion de nouveaux concepts, biens, et de nouvelles personnes.

Celui qui se retrouve colonisé doit alors placer ces agents dans un cadre qu’il maîtrise.

Cette manœuvre a pour but de limiter le chaos que ça peut créer. C’est là où le mythe entre en jeu, c’est le mythe qui va servir de cadre.

On va alors placer tous ces éléments dans les mythes déjà existant en les remaniant.

Cela donne un sens mais aussi une impression de contrôler au moins en partie ce qu’il se passe. Balandier donne l’exemple du syncrétisme, qui est la représentation directe de l’idée citée précédemment.

En effet il a une reprise des figures sainte du colonisateur mais aussi des ses biens dans un but symbolique.

On comprend que ces nouvelles religions aident à mieux appréhender les étranger mais aussi à se donner une légitimité.

Ils reprennent des éléments de ceux qui domine donc ça les mets au moins à un pied d’égalité avec eux. Le sociologue met aussi la focale sur les “partenaires introduits” car ils concernent plus le sujet.

Des figures importantes sont reprises dans le cadre de rite dans l’exemple qu’il donne. Les Dogons (mais pas que) on fait des masques de figures typique des société blanches.

Des masques composant la société des masques des rituels.

Dans ce cas, au moins dans la représentation rituelle ils contrôlent et inversent les positions avec les blancs.

Il existe aussi des des “semi-rituel- qui reprennent la hiérarchie coloniale.

Ce sont des exemples direct de son propos.On remarque cette appropriation de l’autre ,dans la représentation spirituelle.Cela donne du pouvoir au moins dans sa représentation et permet un meilleur acceptation de sa propre condition Il continue en expliquant comment les peuples colonisés ont pris conscience de leur “infériorité”.

Il explique que dans des légendes et des poemes ont retrouve cette idée du blanc riche et des noirs maudits qui ne peuvent pas posserder de richesse, au moins au début lorsque la colonisation était forte.

Mais cette idée resteras quand même si le noir n’est plus vu comme victime de mauvais sort, on voit se dévellopper cette volonté de faire comme les blanc pour pouvoir avoir de l’argent.

Avec ces mythes, ils comprennent aussi que les colonisateurs sont aussi venus leur prendre leur richesse. C’est ainsi que l’on voit émerger des réactions qui vont mener au idées développer dans la seconde partie de son développement.

Il développe dans cette partie trois grands types de réactions et comment ces réactions se mettent en place par rapport au mythe. Il commence par la “réhabilitation des manières d’être et des cultures africaines” , il s’agit alors de de contester et de rendre le droit ,à ce qui a était contenter, d'exister.

Les peuples africain vont alors se servir des outils et des des mythes des blancs pour se donner une légitimité.

Puis il évoque “les innovations religieuse à but révolutionnaire" c'est-à-dire des mouvement religieux, soucieux messianique et prophétique.

Qui portent les suiveurs de ces mouvements à s’engager dans des protestations violentes.

Ils pensent qui si ils chassent les blanc tout.... »

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