Databac

Fiche de lecture _ 3 Essais sur la séxualité, de Freud

Publié le 31/08/2021

Extrait du document

Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Fiche de lecture _ 3 Essais sur la séxualité, de Freud. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système d’échange gratuit de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Philosophie.

« 21/09/2015 Jumelé psychanalyse 2 3 Essais sur la sexualité. L’importance de la sexualité, dès 1890 avec Freud, le projet d’un ouvrage théorique avant l’interprétation du rêve.

La date de parution est de 1905.

Beaucoup de remaniement (4 ou 5 reparutions), il y a aussi beaucoup de notes de bas de page.

Cela marque l’importance de cet ouvrage. - La vie sexuelle commence dès la naissance et non à la puberté.

C’est une conception différente de celles de l’époque - La notion de pulsion sexuelle infantile - L’activité sexuelle est d’abord pour le plaisir et ensuite au service de la reproduction. Cela peut poser la sexualité comme contre nature, car plaisir égoiste. - Tendances perverses chez chacun (dès le premier essai), que l’on trouve déjà chez l’enfant, d’où « l’enfant est un pervers polymorphe ». Clé de lecture : distinction entre le sexuel et le génital.

Pas seulement le sexe au service de la reproduction mais par la recherche de plaisir en général.

Notion de pulsion : Frontière entre le somatique (matérialité brute) et psychique.

Il y a une excitation qui vient du corps mais traitée psychiquement immédiatement, des représentations du coup, qui peuvent soumettre l’organisme à un malaise et il faut faire quelque chose pour arrêter ça. Il contient un but, une source, un objet.

La pulsion part de l’organisme, elle est constante (revendication pulsionnelle en permanence), en revanche les objets sont contingents (peu importe l’objet tant que la pulsion baisse).

L’opposé de la contingence en psychanalyse est la fixité.

Seul le moi n’est pas contingent.

Le moi peut être un objet d’amour et est irremplaçable (dramatique pour ceux qui ne se supportent plus eux-mêmes).

Le moi est par définition unique, on ne peut se séparer de soi-même sauf dans la dissociation psychotique. On cherche des objets qui font penser au premier objet d’amour. Dimension irremplaçable et fixité, tendance à la conservation de la psyché (conserver les mêmes objets satisfaisant) et la nécessité vitale psychique de renoncer pour déplacer la pulsion vers d’autres objets. Mesure d’exigence de travail pour résoudre le potentiel conflit psychique que crée la tension. Freud dit « quelque chose dans la pulsion elle-même résiste à la satisfaction ».

On ne peut arriver à un état de plénitude.

Dans la sexualité infantile, (tous derniers textes de Freud sur une annotation), quand il interroge les inhibitions chez l’enfant et chez l’adulte.

Il y aurait comme une part manquante au cœur de la pulsion, qui maintien une tension, qui fait que la vie continue.

Le but de la pulsion : la satisfaction La source de la pulsion serait à la fois externe (thermique, frottement..), et interne (émotions fortes, pensée..).

Une activité onirique peut activer une source excitante.

Différence représentation (du côté des affects) et représentance (sorte de médiation, signifier à la psyché).

La pulsion n’est pas qu’instinctuelle, elle se « psychise », elle prend un. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles