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FENELON, François de Salignac de la Mothe(6 août 1651-7 janvier 1715)PrélatA sa sortie du séminaire de Saint-Sulpice, il est ordonné prêtre et chargépar l'archevêque de Paris de la direction des Nouvelles catholiques quireçoit les protestantes récemment converties.

Publié le 23/05/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : FENELON, François de Salignac de la Mothe(6 août 1651-7 janvier 1715)PrélatA sa sortie du séminaire de Saint-Sulpice, il est ordonné prêtre et chargépar l'archevêque de Paris de la direction des Nouvelles catholiques quireçoit les protestantes récemment converties. Ce document contient 281 mots soit 1 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Histoire-géographie.

« FENELON, François de Salignac de la Mothe (6 août 1651-7 janvier 1715) Prélat A sa sortie du séminaire de Saint-Sulpice, il est ordonné prêtre et chargé par l’archevêque de Paris de la direction des Nouvelles catholiques qui reçoit les protestantes récemment converties.

Pendant dix ans, il assume ses fonctions.

Dans le même temps, il écrit en 1688, Le Traité du ministère des pasteurs puis en 1689, le Traité de l’éducation des filles . Recommandé par Bossuet , il est envoyé par Louis XIV en Saintonge et au Poitou, où sa prudence et ses vertus de charité lui épargnent d’avoir recours à la force.

C’est pour ces qualités que madame de Maintenon conseille au roi d’en faire le précepteur du duc de Bourgogne , son petit-fils, en 1689.

C’est pour lui qu’il écrit Les Dialogues des morts , des Fables et Les Aventures de Télémaque .

En 1694, le roi fait de lui l’archevêque de Cambrai.

Influencé par madame Guillon, emprisonnée à plusieurs reprises et condamnée, par des conférences ecclésiastiques, pour avoir professé un mysticisme désigné par le nom de quiétisme , il fait sienne cette doctrine.

Hors, Bossuet ne peut admettre cette hérésie qui fait fi de la tradition de l’Eglise.

Il fait condamner le livre de Fénelon Explication des maximes des saints .

Fénelon aussitôt fait amende honorable.

Mais la parution de Télémaque provoque la colère du roi. Exilé dans son diocèse, Fénelon n’eut plus pour souci, jusqu’à la fin de ses jours, que d’être un pasteur toujours soucieux de retrouver les brebis qui pouvaient s’égarer, quitte à devoir se dépouiller pour elles.

Il écrivit pour l’ Académie , dont il était membre depuis 1693, une lettre lui proposant un programme de travaux, publié un an après sa mort.. »

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