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FELLINI ROMA

Publié le 06/12/2021

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FELLINI ROMA


Réalisation.....................................................................

Scénario .......................................................................

Directeur de la photographie : .........................................

Décors et costumes .........................................................

Musique ........................................................................

Montage........................................................................

Production.....................................................................

Distribution....................................................................

Durée ...........................................................................  


Federico FELLINI (1972) Bernardino ZAPPONI Giuseppe ROTUNNO (Technicolor)

Danilo DONATI

Nino ROTA

Ruggero MASTROIANNI Ultra-Films, SPA (Rome) Les Artistes Associés (Paris) Les Artistes Associés

128 minutes


INTERPRÉTATION

Peter GONZALES(le jeune homme, alter ego de Fellini), Fiona FLORENCE, Britta BARNES, Pia de DOSES, Marne MAITLAND, Renato GIOVANNOLI, Elisa MAINARDI Paula ROUT, Galliano SBARRA, Paola NATALE, Mario del VAGO, Alfredo ADAMI, Stefano MAYORE, et une apparition de Anna MAGNANI dans son propre rôle.

L'HISTOIRE


Pour les élèves de l'école primaire italienne, Rome est « la ville éternelle «, chargée d'His­toire et de gloire antique. Pour le jeune pro­vincial qui y débarque vers la fin des années 30 c'est tout autre chose : une cité grouillante, peuplée de personnages pittoresques... Ce jeune homme un peu timide (reflet du réali­sateur Federico Fellini) prend pension dans un appartement populaire où l'accueille une famille modeste, bruyante, débraillée. Le soir, dans un restaurant du quartier dont les tables s'étalent jusque sur la chaussée, les clients parlent, rient, crient et mangent gou­lûment des nourritures lourdes. Aujourd'hui (plus précisément : en 1971), c'est encore un autre panorama. Une circulation intense occupe les voies multiples du Boulevard Péri­phérique qui ceinture la ville. Un camion se

« Les Fiches de Monsieur Cinéma Histoire Illustrée du Cinéma Mondial FELLINI ROMA Réalisation ......................................

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Federico FELLINI (1972) Bernardino ZAPPONI Giuseppe ROTUNNO (Technicolor) Scénario ........................................

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Directeur de la photographie: ......................

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Décors et costumes ...............................

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Danilo DONATI Musique ........................................

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Nino ROTA Montage ........................................

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Ruggero MASTROIANNI Ultra-Films, SPA (Rome) Les Artistes Associés (Paris) Les Artistes Associés Production ......................................

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Distribution .....................................

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Durée ..........................................

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128 minutes INTERPRÉTATION Peter GONZALES(le jeune homme, alter ego de Fellini), Fiona FLORENCE, Britta DARNES, Pia de DOSES, Marne MAITLAND, Renato GIOV ANNOLI, Elisa MAINARDI Paula ROUT, Galliano SBARRA, Paola NATALE, Mario del VAGO, Alfredo ADAMI, Stefano MA YORE, et une apparition de Anna MAGNANI dans son propre rôle.

L'HISTOIRE Pour les élèves de l'école primaire italienne, Rome est «la ville éternelle», chargée d'His­ toire et de gloire antique.

Pour le jeune pro­ vincial qui y débarque vers la fin des années 30 c'est tout autre chose: une cité grouillante, peuplée de personnages pittoresques...

Ce jeune homme un peu timide (reflet du réali­ sateur Federico Fellini) prend pension dans un appartement populaire où l'accueille une famille modeste, bruyante, débraillée.

Le soir, dans un restaurant du quartier dont les tables s'étalent jusque sur la chaussée, les clients parlent, rient, crient et man~ent gou­ lûment des nourritures lourdes.

Aujourd'hui (plus précisément: en 1971 ), c'est encore un autre panorama.

Une circulation intense occupe les voies multiples du Boulevard Péri­ phérique qui ceinture la ville.

Un camion se ·enverse et prend feu.

Images nocturnes, impressionnantes.

Fellini, entouré de son équipe de tournage, sillonne les rues de la ville et discute avec ses habitants.

Il évoque les music-halls d'antan avec leurs spectacles grotesques, leur atmosphère douteuse et bon enfant, leurs artistes minables, la joie et les disputes d'un public trivial.

Les cinéastes tournent à présent dans les sous-sols de Rome où il est question de construire un métro.

Ils découvrent d'anciennes grottes ornées de fresques antiques dont les dessins s'estompent au contact de l'air.

Sur les parvis des églises, au bord des fontaines, des groupes de "hip­ pies" se vautrent, s'ennuient, s'embrassent.

L'amour, en 1971, se montre au grand jour.

En 1940, au contraire, il y avait d'immenses bordels, les uns luxueux, réservés à la clientèle huppée, les autres lamentables et malpropres abritant des prostituées lourdes, vulgaires, excitantes.

Rome, c'est aussi la haute société, la noblesse, l'Église.

Dans un palais obscur et improbable, un parterre de dignitaires applaudit un défilé de mode ...

ecclésiastique.

Puis, apparaît, dans une sorte d'apothéose dérisoire, le Pape lui-même.

Rome, c'est enfin le quartier touristique de Trastevere.

Intel­ lectuels, badauds, artistes, étrangers et margi­ naux s'entrecroisent, s'apostrophent, et s'at­ tablent dans les recoins.

Fellim, au terme de son reportage décousu s'adresse à la comé­ dienne Anna Magnani qu'il considère comme un symbole de Rome.

Elle lui conseille d'aller se coucher! Dans la nuit, les plus fiers des monuments romains sont illuminés par des spots puissants.

La ville est vide et lugubre.

Une longue cohorte de motocyclistes anony­ mes, bottés casqués, la traverse et s'en éloigne.

LA PETITE HISTOIRE e! ·u; Comme LA DOLCE VITA, SATY­ RICON et, plus tard, CASANOVA, FEL­ LINI-ROMA se présente comme une fresque monumentale, à la fois reportage historico­ poétique et évocation intemporelle de fan­ tasmes personnels.

Mais la fiction prend le pas sur la réalité.

Ainsi, la scène tournée sur 3 le boulevard périphérique a été totalement t reconstituée en studio: 500 mètres d'asphalte, Ill des centaines de voitures, la nuit, la pluie, le g> feu.

Une création monstre.

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