Faire une écriture d'invention sous forme de lettre à un éditeur pour lui montrer l'intérêt de réunir des fables en un recueil.

« Faire une écriture d'invention sous forme de lettre à un éditeur pour lui montrer l'intérêt de réunir des fables en un recueil . Votre travail consiste en la rédaction d’une lettre, vous devez donc bien respecter les codes de ce genre : Normalement, vous devriez écrire en en haut à gauche de la lettre le nom de la personne qui écrit la lettre (vous).

À la fin de la lettre, n’oubliez pas de signer. Vous pouvez dater votre lettre du 18 septembre 2008. + vous pouvez introduire votre lettre : « Monsieur le directeur des Éditions La Fable et nous » / « Monsieur Samyn, éditeur » / vous pouvez aussi mettre en haut à droite : « À l’attention du directeur des éditions Fables au XXIe siècle » puis, au centre, marquer simplement « Monsieur ». Ne pas oublier non plus les formules de politesse à la fin de votre lettre. Votre lettre doit être argumentée.

Vous devez rappeler l’intérêt des fables en général puis expliquez pourquoi certaines (celles que vous avez choisies) méritent d’être publiées en recueil.

Vous devez donc organiser votre devoir, les parties de votre lettre.

Il s’agit d’être convainquant : vous voulez que des fables soient publiées, vous devez donc vanter leurs mérites. Voici une liste d’arguments que vous pourrez reprendre afin de montrer l’intérêt des fables => dans votre lettre, vous pouvez reprendre ces arguments et les illustrer avec les fables que vous avez choisies. NB : nous prendrons principalement appui sur les Fables de La Fontaine, mais aussi d’autres fabulistes. La fable, un texte plaisant à lire : • « Tout parle en mon ouvrage, et même les poissons » : à la grande joie des lecteurs, de 7 à 77 ans, les fables de La Fontaine racontent très souvent des histoires d’animaux.

Mise en scène du monde animal : le lion, la belette, le singe, tous parlent, certains sont habillés et ils ressemblent aux hommes : univers merveilleux. • La Fontaine > plaisir de la lecture. Ses fables sont de véritables petites scènes de genre, pittoresques et circonstanciées, le plus souvent teintées d’humour.

Jouant sur l’alternance irrégulière de différents mètres (octosyllabes et alexandrins, par exemple), utilisant des effets complexes de rythmes, d’assonances et de rimes, La Fontaine se sert de toutes les ressources de la forme versifiée. »