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Exposé oradour sur glanes

Publié le 03/06/2024

Extrait du document

« Contexte Nous sommes en mai/juin 1944 en pleine 2ème guerre mondiale, la France est sous-occupation allemande depuis 4 ans et à ce moment-là l’Allemagne occupe aussi une grande partie de l’Europe même si l’URSS est en train de libérer l’est.

Il y a des rumeurs de débarquement alliée en Normandie, et la résistance française se soulève et se bat pour la libération.

C’est alors qu’une division SS (allemande donc) avec plus de 8000 hommes se dirige donc vers la Normandie en ayant pour mission de réduire à néant les résistants se trouvant sur leur route. Dans tous les villages où ils passent ils tuent ils pillent, ils brulent.

Tout cette violence a pour but de démotivé les civils, de les empêcher, par la peur, par la terreur de rejoindre de soutenir ou d’aider la résistance. Toute personne suspectée de participer plus ou moins à la résistance est abattu sans procès et sans enquête. Ces hommes suivent donc leur route en laissant une grosse trace de violence, de mort sur leur passage, ils ont pendu plus d’une centaine d’hommes et assassiné un bon nombre de civil, tout ça jusqu’à un petit village nommé Oradour sur glanes… Le massacre Pourquoi ce village-là ? Oradour sur glanes est un petit village paisible d’un millier d’habitants coupé du monde et des grandes zones de la résistance, ils n’ont jamais vu d’Allemands ou très peu et il y a peu de résistants aux alentours il n’y a pas de maquis. Le 10 juin 1944 Vers 14h, la « das reich » arrive aux portes de la ville par la route de limoge et encercle le village. En 1 heure, tous les habitants sont rassemblés le champ de foire sont séparé.

Les femmes et les enfants d’un côté, les hommes de plus de 14 ans de l’autre. Après des adieux et des pleurs déchirants, les femmes et les enfants sont conduits dans l’église, ont les y entassent puis on enflamme l’intérieur du bâtiment, ces femmes et ces enfants sont asphyxiés, ils se dirigent alors vers les portes… Et après quelques tentatives, une des portes fut enfoncée, c’est alors que la fusillade éclata… Apres avoir tiré la dernière balle, ont jeta de la paille et des chaises sur les corps meurtris pour les bruler.

D’ailleurs, on le voit sur la photo… Une seule survivante seulement a réussi à s’échapper de ce carnage par une fenêtre grâce à la fumée et cette agitation. C’est d’ailleurs elle qui a témoigné.

On connait donc certains détails comme vous avez pu le voir. Du coté des hommes, ce ne fut pas beaucoup mieux.

On les.... »

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