Exposé de sous l'orage
Publié le 14/02/2022
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b - Le mariage forcé Un mariage forcé n’est une pratique limité à une seule région du monde. Il a pour but de marier une personne contre sa volonté avec quelqu’un que leurs parents ont choisis. Dans la coutume Africaine, le mariage est organisé par les familles des futurs époux qui viennent généralement de la même ethnie, d’une même classe sociale et d’une même région (…). Dans « sous l’orage », Un mariage, s’annonce difficile du fait de l’amour que Kany et Samou son copain, se vouent. Ils s’étaient rencontrés au cours d’une Kermesse, organisée au village. Leurs regards s’étaient croisés une, deux, trois fois. Ils se sont aimés et ne parlaient plus que d’amour et d’avenir. Mais le père Benfa s’oppose à cette aventure et décide de donner sa fille forcement à un homme riche. c - la marginalisation de la femme Il y a dans l'Afrique traditionnelle un modèle de comportement que la femme devrait avoir : des vertus, des valeurs, en un mot des qualités'; intrinsèques. La docilité et la soumission constituant les règles les plus recherchées litez elle. Seulement, il faudrait souligner que ces dernières entraînent inéluctablement un espace fermé, un véritable "huis clos" au sein duquel la femme doit se mouvoir. Dans cette dynamique aussi transparaît "le drame de la féminité" vécu comme une "infirmité naturelle". C’est le cas de Maman Téné par exemple dans « sous l’orage » qui non seulement n’a pas l’autorité de s’ingérer dans l’affaire du mariage de sa fille Kany mais aussi a été accusée de complicité avec cette dernière. d - Initiation aux valeurs traditionnelles L’initiation traditionnelle est l'une des institutions sociales les plus importantes en Afrique. Une étape fondamentale dans la formation de l'identité des hommes. Or l’essence de toute initiation est centrée sur la valeur actuelle à promouvoir ou à défendre dans la société. Dans ces rites, les fonds et les formes semblent aujourd’hui l'emporter sur leur origine culturelle, et c’est ce qui en constitue le mauvais côté. Voilà donc l’orage qui fait se confronter le passé, la tradition, les anciens avec l’avenir, la nouveauté et la jeunesse. Mais cet orage qui peut se faire dévastateur dans beaucoup de cultures, dont occidentale, est maîtrisé dans « sous l’orage » par la sagesse africaine. III – ETUDE STYLISTIQUE 1°) Style de l’auteur A travers « sous l’orage », Seydou Badian, met en évidence une situation ascendante qui allait de mal en pire. Il narré un fait de son temps en ayant en tête comme ses paires une lutte déclanché contre l’administration coloniale. Ces faits sont des réalités sociales que vivait l’Afrique précoloniale. Pour les exposer, l’auteur a utilisé des personnages qui incarnent une apparence réelle dont certains d’entre eux ont faire preuve d’euphémisme c’est-à-dire des idées désagréables. C’est aussi une histoire qui a opposée deux civilisations dont l’une semble envahie l’autre et par là l’auteur a essayé de décrire leur impact sur les faits sociaux de son théâtre. 2°) Structure de l’œuvre « Sous l’orage » est l’ouvrage le plus célèbre de Seydou Badian. Il est structuré en 25 chapitres. L'idée générale de l'œuvre parle de la tradition, la modernité, le mariage forcé et la colonisation. Dans un premier abord, L'auteur sans une situation géographique explicitement nommée, nous fait découvrit les entrailles d'une Afrique aux mœurs et tradition ancrés. Par la suite, il nous amène dans l’univers d’une opposition générationnelle à travers le rejet des coutumes traditionnelles qui feront l'objet de batailles rangées entre deux générations disjointes : jeunes et vieux. Les premiers impactés par une culture nouvelle avec des altitudes nouvelles et à l'apparence beaucoup plus comme de sous leurs yeux immatures, aidés par les colonisateurs, tentent de faire leurs poids en respectueusement leurs valeurs auxquelles les sages africains s'accrochent de tout leur sang. Ces derniers nantis par sens du devoir spirituelle et divin de sauvegarde des dites valeurs, revoient face à un meurtre innocent sans repère fixe qui foule la semence ancestrale d'un coup de pied impitoyable et dédaigneux. 3°) Point de vue personnel sur l’œuvre La tradition se présente comme ce moyen utilisé dans la culture nègre. Son originalité montre qu'il serait absurde de l'opposer à la modernité car ce sont des notions complémentaires et ne s'excluent guère. En d’autre terme l’Afrique n'a pas su comment moderniser, passer de la tradition à la modernité, et a pris la modernité des colons comme une tradition. Nous devons nous initier à nos valeurs traditionnelles, car ceux-ci sont nos propres valeur, nos réels valeur, les choses importés ne peuvent en aucun remplacer ce qui nous ai authentique, notre problème actuel rigide à l'abandon de nos vrais valeurs. Dans cet ouvrage, c’est l’âme de l’Afrique qui parle. Une âme qui parle avec pudeur. Un juste ton. Cette justesse de ton, c’est la pudeur même de l’âme de l’Afrique noire, héritage sans doute, d’une très vieille et très complexe histoire, caractéristique essentielle de sa civilisation.
b - Le mariage forcé Un mariage forcé n’est une pratique limité à une seule région du monde. Il a pour but de marier une personne contre sa volonté avec quelqu’un que leurs parents ont choisis. Dans la coutume Africaine, le mariage est organisé par les familles des futurs époux qui viennent généralement de la même ethnie, d’une même classe sociale et d’une même région (…). Dans « sous l’orage », Un mariage, s’annonce difficile du fait de l’amour que Kany et Samou son copain, se vouent. Ils s’étaient rencontrés au cours d’une Kermesse, organisée au village. Leurs regards s’étaient croisés une, deux, trois fois. Ils se sont aimés et ne parlaient plus que d’amour et d’avenir. Mais le père Benfa s’oppose à cette aventure et décide de donner sa fille forcement à un homme riche. c - la marginalisation de la femme Il y a dans l'Afrique traditionnelle un modèle de comportement que la femme devrait avoir : des vertus, des valeurs, en un mot des qualités'; intrinsèques. La docilité et la soumission constituant les règles les plus recherchées litez elle. Seulement, il faudrait souligner que ces dernières entraînent inéluctablement un espace fermé, un véritable "huis clos" au sein duquel la femme doit se mouvoir. Dans cette dynamique aussi transparaît "le drame de la féminité" vécu comme une "infirmité naturelle". C’est le cas de Maman Téné par exemple dans « sous l’orage » qui non seulement n’a pas l’autorité de s’ingérer dans l’affaire du mariage de sa fille Kany mais aussi a été accusée de complicité avec cette dernière. d - Initiation aux valeurs traditionnelles L’initiation traditionnelle est l'une des institutions sociales les plus importantes en Afrique. Une étape fondamentale dans la formation de l'identité des hommes. Or l’essence de toute initiation est centrée sur la valeur actuelle à promouvoir ou à défendre dans la société. Dans ces rites, les fonds et les formes semblent aujourd’hui l'emporter sur leur origine culturelle, et c’est ce qui en constitue le mauvais côté. Voilà donc l’orage qui fait se confronter le passé, la tradition, les anciens avec l’avenir, la nouveauté et la jeunesse. Mais cet orage qui peut se faire dévastateur dans beaucoup de cultures, dont occidentale, est maîtrisé dans « sous l’orage » par la sagesse africaine. III – ETUDE STYLISTIQUE 1°) Style de l’auteur A travers « sous l’orage », Seydou Badian, met en évidence une situation ascendante qui allait de mal en pire. Il narré un fait de son temps en ayant en tête comme ses paires une lutte déclanché contre l’administration coloniale. Ces faits sont des réalités sociales que vivait l’Afrique précoloniale. Pour les exposer, l’auteur a utilisé des personnages qui incarnent une apparence réelle dont certains d’entre eux ont faire preuve d’euphémisme c’est-à-dire des idées désagréables. C’est aussi une histoire qui a opposée deux civilisations dont l’une semble envahie l’autre et par là l’auteur a essayé de décrire leur impact sur les faits sociaux de son théâtre. 2°) Structure de l’œuvre « Sous l’orage » est l’ouvrage le plus célèbre de Seydou Badian. Il est structuré en 25 chapitres. L'idée générale de l'œuvre parle de la tradition, la modernité, le mariage forcé et la colonisation. Dans un premier abord, L'auteur sans une situation géographique explicitement nommée, nous fait découvrit les entrailles d'une Afrique aux mœurs et tradition ancrés. Par la suite, il nous amène dans l’univers d’une opposition générationnelle à travers le rejet des coutumes traditionnelles qui feront l'objet de batailles rangées entre deux générations disjointes : jeunes et vieux. Les premiers impactés par une culture nouvelle avec des altitudes nouvelles et à l'apparence beaucoup plus comme de sous leurs yeux immatures, aidés par les colonisateurs, tentent de faire leurs poids en respectueusement leurs valeurs auxquelles les sages africains s'accrochent de tout leur sang. Ces derniers nantis par sens du devoir spirituelle et divin de sauvegarde des dites valeurs, revoient face à un meurtre innocent sans repère fixe qui foule la semence ancestrale d'un coup de pied impitoyable et dédaigneux. 3°) Point de vue personnel sur l’œuvre La tradition se présente comme ce moyen utilisé dans la culture nègre. Son originalité montre qu'il serait absurde de l'opposer à la modernité car ce sont des notions complémentaires et ne s'excluent guère. En d’autre terme l’Afrique n'a pas su comment moderniser, passer de la tradition à la modernité, et a pris la modernité des colons comme une tradition. Nous devons nous initier à nos valeurs traditionnelles, car ceux-ci sont nos propres valeur, nos réels valeur, les choses importés ne peuvent en aucun remplacer ce qui nous ai authentique, notre problème actuel rigide à l'abandon de nos vrais valeurs. Dans cet ouvrage, c’est l’âme de l’Afrique qui parle. Une âme qui parle avec pudeur. Un juste ton. Cette justesse de ton, c’est la pudeur même de l’âme de l’Afrique noire, héritage sans doute, d’une très vieille et très complexe histoire, caractéristique essentielle de sa civilisation.
« République du Niger Fraternité, Travail, Progrès Ministère des enseignements secondaires DDRES/NY1/CES ABM Classe : 1 ère A Groupe : N°4 Thème : Sous l’orage de Seydou Badian Membres du groupe : Oudoukoul Ahmed (chef de groupe) Fabrice Akouété Kadri Soumana Hamza Mounkaila Tenue par : Mm Halima Ex posé de Français. »
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