Explication linéaire-Meutre de Meursault, L'étranger de Camus

« Explication linéaire L’Étranger, Albert Camus, 1942, première partie, chapitre IV, le meurtre I.Introduction L’étranger est un roman divisé en deux parties. L’auteur de cette œuvre est Albert Camus, il a publié ce roman en 1942 durant la Seconde Guerre Mondiale. Le personnage principale est Meursault qui est un employé de bureau qui apprend la mort de sa mère et qui sera donc en deuil. Dans cet extrait il s’agit du quatrième chapitre de la première partie du roman, Meursault tua de quatre coups de revolver le frère (l’Arabe) de l’ex-femme de Raymond Sintès. Nous allons essayer de comprendre comment ce passage va permettre faire une ouverture vers la deuxième partie du roman. C’est pourquoi, dans un premier temps nous allons voir l’influence du soleil sur Meursault de la ligne 1 à la ligne 10, puis nous nous intéresserons le destin tragique de Meursault, de la ligne 11 à 23.

Et dernièrement nous verrons à partir de la ligne 24 jusqu’à la ligne 27 la prise de conscience de Meursault. II.Développement Mouvement 1 : La dominance du soleil, ligne 1 à 10 Dès le début de cet extrait, le soleil est mentionné à la deuxième ligne : « une plage vibrante de soleil ».

De plus le terme « soleil » est employé à la ligne 2, 5, 6 et 10, mais également d’autres tout au long tu texte.

Nous pouvons en déduire que le soleil joue un rôle important ici, et donc il s’agit ici de l’allégorie du soleil puisqu’il est omniprésent durant tout le texte. Nous pouvons en conclure que le soleil est le troisième personnage ici. « La brûlure du soleil » ligne5, « me faisait mal » ligne 7, « je ne pouvais plus supporter » ligne 8 : le groupe nominal à la ligne 5 et tous ces verbes à l’imparfait démontre la douleur que produit le soleil envers Meursault qui semble souffrir.

Le soleil est alors décrit comme étant dominant et dangereux, c’est donc l’ennemi de Meursault qui est devenu la victime. « Mais toute une plage vibrante de soleil se pressait derrière moi.

» ligne 2, nous pouvons constater ici qu’il y a de l’opposition puisqu’il y a la. »