EXPLICATION LINEAIRE MADAME BOVARY

« Oral Blanc prépa (madame Bovary, Gustave Flaubert) Alors Bonjour, je m’apelle Riham, je suis en première 7 et je suis aujourd’hui présente pour mon oral blanc, durant lequel nous allons étudié le texte ….

Puis je vais vous faire un debrief du livre « la tresse » de laetitia Colombani.

Commençons par le plus long, c’est-à-dire l’explication linéaire de « Madame Bovary » de Gustave Flaubert : Pour commencer, Gustave Flaubert, est un écrivain français du 19è siècle, appartenant à un mouvement romantique et réaliste.

Ainsi il écrit en 1857 « Madame Bovary », dont le sujet principale, c’est l'histoire de l'épouse d'un médecin de province, Emma Bovary, qui lie des relations adultères et vit au-dessus de ses moyens, évite l'ennui, la banalité et la médiocrité de la vie provinciale.

Je procède à une lecture : … Ce texte est composé de 3 mouvements, le premier consiste en l’entrée dans la conscience d’Emma, me second à la transfiguration d’Emma et enfin le troisième porte sur l’idéalisation des héroïnes de ses lectures. Pour commencer, ce texte est introduit par « d’abord ce fut », qui permet une entrée soudaine dans la pensé de madame Bovary.

Ensuite nous pouvons relevé et une comparaison et le lexique de la sensation, « comme un étourdissement » qui peut nous permettre de constater une perte de contrôle, ainsi qu’une confusion au niveau de l’esprit de l’héroïne.

« Voyait/ sentait/frémissait/sifflaient » : ce que ces verbes ont en commun, c’est leur temps, puisqu’ils sont conjugués à l’imparfait, ce qui va permettre un retour dans le passé de madame Bovary.

L’auteur va évoquer une scène sensuel partagé avec Rodolphe, une évocation pleine de pudeur, dans laquelle sera fusionné l’amant avec le paysage.

Dans le 2 e mouvement, qui va donc des lignes 4 à 13 nous pouvons relevé la conjonction de coordination, « mais » ainsi que l’utilisation du gérondif, ces éléments vont permettre un retour brutal à la réalité, en marquant le caractère soudain de la transfiguration d’Emma : ce qui nous permet d’en déduire que Emma Bovary, devient spectatrice d’elle-même en se regardant dans le miroir.

C’est à travers une description positif et hyperbolique, (relevé avec l’adverbes d’intensité « si », et une accumulation « jamais elle n’avait les yeux (…)profondeur ») que nous auront accès à la conscience de Madame Bovary.

A travers la phrase « Elle se répétait : j’ai un amant ! j’ai un amant ! » , dans laquelle nous pouvons relevé à la fois l’utilisation de discours directe, à la fois des répétition et une exclamation, on peut comprendre que madame bovary, n’est tellement pas consciente du fait qu’elle ait un amant, qu’elle a besoin de se le faire entendre et répéter..

c’est tel un mécanisme d’auto-persuasion.

Nous pouvons ensuite souligné l’utilisation du champs lexicale de l’extase amoureuse, avec les mots « joie/fière/bonheur/passion/extase » , mais aussi des hyperbole « immensité », « sommets »,. »