Explication linéaire «les animaux malades de la peste», Jean de la Fontaine.
Publié le 14/05/2021
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« Explication lineaire « les animaux malades de la peste » , Jean de la Fontaine . INTRO : Jean de la fontaine est un fabuliste du 17eme (classicisme). Ses fables ont vocation a plaire tout en instruisant. A cette fin , il use de la métaphore pour denoncer l’injustice et le vice dont fait preuve l’homme. Dans la fable « les animaux malades de la peste », dans le livre 7 des fables, LF dénonce les rapports de pouvoir qui profitent aux forts, la cour du roi notamment, et dont souffrent les faibles(cad le peuple anonyme). Pbmatique :Comment LF dénonce l’hypocrisie du pouvoir ? Plan :1(vers 1 a 14) la situation initiale, 2(vers 15 a 33) cmt le roi pressente cette situation avec hypocrisie, 3(v34 a 48) nature de la réponse des autres animaux , 4(v49 a 62) la positon faible de l’ane. DRAMATISATION SITUAT° INITIALE (1 a 14): - des les premiers vers : fabuliste dramatise la situat°, vers 1,2 repetit° »mal » = deux periphrases qui annoncent situat° catastrophique ( au 17eme le mal = »le malin »cad le diable) - refrence a Dieu explicite , majuscule a « Ciel » et idée châtiment divin « Inventa pr punir ect » -les rimes avec « fureur « et « terreur » renvoie a la peur. Elle est omniprésente comme montre le chiasme au vers 7 avec repetit° »tous » -la peste ravage la société comme montre les négations au vers10 et 11 = privation , -rapport entre animaux etabli : predateurs ( renard et loup), proies ( tourterelle= symbole amour) HYPOCRISIE DU ROI(15 a 33) - discours débute par une autocritique, il appelle les autres animaux « ses amis » MAIS hypocrisie pcq tlm sait qu’ils sont soumis a son pouvoir, = utilisat° impératif, odre « que le coupable se sacrifie »v18 -il ordonne designat° bouc émissaire= sujet central fable - il donne l’exemple , autocritique honnete = il avoue ses crimes ( la gloutonnerie v 25). Il avoue avoir tuer le berger mais ironie de LF en mettant en valeur le mot berger (hétéronomie v29) - son hypocrisie est confirmée par la rupture entre utilisat° futur « je me devouerai donc » qui annonce la certitude , immédiatement annulée par utilisat° formule restrictives « s’il le faut », et « mais ». Il invite (ordonne) les courtisans a le sauver et faire leurs aveux DES COURTISANS QUI FLATTENT’(34 a 48) -le renard fidele a son allegorie (ruse) flatte le roi par formules elogieuses « Sire », « Roi », « Seigneur » v34 et, 37 -il maquille les crimes en faisant passer pr normaux = LF critique une vision inégalitaire de société, les moutons representent le bas peuple « sotte espèce »v36 qui méritent leur sort. - « flatteur d’applaudir » v43 , la cour confirme les flatteries du Renard, incarnation d’une cour soumise , privée de libre arbitre -en 4 vers , tt les courtisans se sont exprimés , ils sont donc tous identiques , motivées pr plaire au roi . -Le maquillage des aveux est souligné par antithèse « querelleurs » et « saints » v 47,48 LE DISCOURS DE L’ANE OU INJUSTICE ENVERS LES FAIBLES(49 a 62) - ane est ni un predateur , ni proie , ni carnivore . Le seul a prendre le discours du roi sérieusement (naiveté) il confesse ses fautes sans se dedouaner( v 49 a 54) -imitation du lion « le lion teint conseil et dit» , « l’ane vint a son tour et dit » -son discours est logique , :. »
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