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Explication de texte, tristes tropiques

Publié le 15/11/2021

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« Explication de texte : Claude Lévi-Strauss, Tristes tropiques Le texte étudié est un extrait du livre Tristes Tropiques de Claude Lévi-Strauss, considéré comme le premier anthropologue français.

Ce texte est composé des pensées de l’auteur, et montre à quel moment de l’histoire la culture est la plus complète et la plus riche.

Ainsi l’auteur fait face à un dilemme qui sera à la base du questionnement central du texte, qui revient à se demander s’il est plus intéressant et bénéfique de vivre dans le passé avec une culture pure mais avec l’ignorance totale de toute sources de savoir ou alors de vivre de son temps avec une culture corrompue par la diversité mais dotée de connaissances.

Comment l’auteur fait-il évoluer sa réflexion et essaye-il de résoudre le dilemme dans lequel il est plongé ? Afin d’étudier le texte proposé, nous le diviserons en trois parties.

Premièrement nous verrons que Claude Lévi-Strauss regrette le fait de ne pas avoir vécu dans le passé, deuxièmement une reconnaissance du savoir acquis au cours de son siècle et le dilemme dans lequel l’auteur est plongé, et pour finir l’impossibilité de rencontrer l’autre dans ses différences. Le texte commence par l’expression du regret que l’auteur ressens de ne pas avoir vécu dans le temps des anciennes cultures.

Tout d’abord, Claude Lévi-Strauss amorce son texte avec l’utilisation du conditionnel, ce qui plonge l’idée principale du texte dans un sentiment de regret.

Le regret de ne pas avoir vécu dans le temps des « vrais voyage », ici l’auteur sous entend les civilisation antérieure à la modernité d’aujourd’hui.

Il utilise le champ lexical du dégoût, de l’imperfection pure : « gâché, contaminé, maudit », pour décrire les civilisations d’aujourd’hui, comme si les civilisations aurait été contaminées par un fléau culturel que la diversité aurait apporté.

Ce sentiment de regret est renforcé par le questionnement posé dans la deuxième phrase du texte, dans laquelle l’auteur se demande à quelle époque il aurait été préférable et bénéfique d’étudier les civilisations telles que l’Inde et les sauvages brésiliens, pour en tirer les informations les plus pures et intéressantes.

Il aurait préféré étudier celles-ci par ses propres moyens sans avoir à se fier à des études déjà faites sur lesquelles ils ne peut pas pleinement se baser et se confier.

L’auteur appuie cette idée en citant Bougainville et Léry, qui ont tout deux étudier les sauvages brésiliens mais à des époques différentes. L’auteur est frustré de ne pas avoir eu accès a toutes les informations dont il aurait pu bénéficier en vivant à cette époque là. Enfin Claude Lévi-Strauss mentionne l’histoire de ces civilisations avec les termes « chaque lustre en arrière », ce qui montre qu’il s’appuie sur des faits réels qui lui ont permis de comparer sa civilisation avec celles du passé, idée renforcée avec le champ lexical de la victoire, du bénéfice culturel : «sauver une coutume, gagner une fête, croyance supplémentaire ».

Dans cette partie l’ anthropologue nous fait l’éloge des civilisations passé en idéalisant leur pureté et ses coutumes originelles.. »

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