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explication de texte: John Locke a écrit en 1690 un essai philosophique concernant l’entendement humain, nous allons analyser un extrait du livre II, chapitre 27, paragraphe 26

Publié le 02/04/2022

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« DM n°2 explication de texte Intro : La question de l’identité personnelle et du moi est au cœur des débats philosophiques à l’époque même si elle perdure encore un peu.

John Locke a écrit en 1690 un essai philosophique concernant l’entendement humain, nous allons analyser un extrait du livre II, chapitre 27, paragraphe 26 de cet essaie.

Ici, Locke, philosophe empirisme, se demande si il y a une réalité du moi et en quoi elle consiste.

Tout d’abord nous allons étudier la définition de l’identité personnelle de Locke ainsi que les dimensions auxquels elles renvoient de « Je regarde » l.1 à « ou de misère » l.5.

Par la suite, dans une deuxième partie nous allons étudier la dimension morale de la conscience de « La personnalité » l.5 à « soit heureux » l.10, puis dans une troisième partie la dimension juridique de la conscience de « Ainsi » l.10 à « aucune manière » l.15.

Et enfin, pour finir nous allons parler de la dimension juridique, la justice de l’Homme à la justice de Dieu de « Car supposé » l.15 à « commises » l.22. I- Locke définis l’identité personnelle et présente les différentes dimensions auxquels elle renvoie. Dans la première partie Locke commence par définir l’identité personnelle et présente les différentes dimensions auxquels elle renvoie, de « Je regarde » l.1 à « misère » l.4.

Tout d’abord l’identité personnelle est unique, elle touche notre intimité au plus profond et en dehors des influences extérieures, elle désigne pour le fait pour un sujet d’être un individu à la fois distincts de tous les autres et demeurant le même à travers le temps.

Locke va alors commencer par définir ce qu’on entend par soi-même.

Pour cela, il va alors observer et analyser « le mot de Personne » l.1, le mot de Personne est un terme de Barreau qui est un terme qu’on emploi dans le cadre de la justice lors d’un procès par exemple.

De plus, Locke utilise le pronom « Je » l.1 pour montrer que c’est lui même qui à eu cette l’idée, c’est lui qui va définir et rechercher de manière pointilleuse soi-même. Soi-même est un pronom utilisé pour parler d’une seule personne en excluant les autres.

Il pars donc de quelque chose, d’une expérience individuel, c’est à dire qu’il analyse lui même et seule avec le pronom « Je » l.1 pour en arriver à quelque chose d’universel, d’une généralité avec « ce qu’on entend » l.1 grâce au pronom « on » l.1 qui désigne l’ensemble des Hommes en générale.

Il décris donc quelque chose de nouveau en se détachant du traditionnelle. Ensuite, on comprend que Locke montre que l’identité personnelle n’est pas inscrite dans un moment précis et dans un lieu précis mais elle s’inscrit à travers le temps et dans des lieux distincts, elle s’inscrit donc dans la durée.

Cette identité personnelle repose donc sur des caractéristiques spatio-temporels externe à la nature.

De plus, John Locke sous entend qu’il faut la trouver et la chercher cette identité personnelle, on le voit avec « trouve » l.2, et surtout que chaque personne à une identité personnelle donc propre à elle-même.

C’est à dire que deux personnes ne peuvent pas avoir la même identité, notre identité personnelle est unique.

Ici, John Locke suppose donc une réalité du moi et ainsi que cette réalité perdure dans le temps. Par la suite, Locke explique ce qu’est le mot Personne en l’associant à la notion juridique, plus particulièrement au « terme Barreau » l.3 qui signifie un terme qu’on emploi dans le cadre de la justice lors d’un procès par exemple.

Il va alors expliquer que chaque personne est responsable de ses propres actions et acte ainsi que les avantages et « mérite » l.3 ou les désavantages et « démérite » l.4 de ses actions.

C’est à dire que si une personne fais une action qui a une conséquence péjorative pour elle, elle en sera elle-même responsable, et à l’inverse si une personne si une personne tire des mérite de ses actions elle en sera responsable aussi.

Il en conclut donc que les personnes qui peuvent juger les actions d’une personnes sont « les agents intelligents » l.4, c’est à. »

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