Explication 12 Le Rouge et le Noir Stendhal

« Explication 12 Le Rouge et le Noir Stendhal De son vrai nom Henry Beyle, Stendhal est un écrivain qui a vécu durant la période du romantisme comme Honoré De Balzac et est issue du réalisme comme ce dernier.

Il n’a achevé que 2 romans dans sa carrière dont Le Rouge et le Noir.

Ce roman raconte l’ascension sociale de Julien Sorel issu d’une classe ouvrière et qui fait la rencontre de madame de Rénal, qui va par la suite le dénoncer car il aurait triché lors d’un jeu. Celui-ci va essayer de la tuer sans succès mais sera ensuite jugé de tentative de crime. Dans ce texte c’est Julien qui parle.

Il est devant les juges et leurs explique pourquoi il va être condamné. LECTURE Ce texte est une sorte de discours donc de la ligne 1à4 nous étudierons l’exorde, puis de la ligne 5à13 son développement et pour finir de la ligne 14 à la fin la péroraison. 1)Julien commence son discours en employant la formule rituelle, il s’adresse à son destinataire tout en sachant que se sont eux qui vont décider de son sort.

Avec cette formule de respect hiérarchique on comprends qu’il accepte les normes sociales et son cadre.

Il emploie le pluriel qui démontre un individu face à un groupe. Julien a conscience du pouvoir des riches par rapport a lui car il dit « je n’ai point l’honneur d’appartenir à votre classe »(ligne3), il emploie une négation totale qui démontre qu’il y a une échelle sociale entre eux et lui mais que malgré ça il e présente quand même en tant qu’héro car il prend la parole « l’horreur du mépris, que je croyais pouvoir braver au moment de la mort, me fait prendre la parole » (ligne2).

Il est pauvre, il le sait et en plus malchanceux de son coup raté, je cite : « vous voyez en moi un paysan qui ‘st révolté contre la bassesse de sa fortune ».

Il s’affirme avec le « je » « me » et « en moi » car il veut être montré comme un modèle d’un paysan qui s’est révolté avec fierté. Nous verrons dans une deuxième partie comment la plaidoirie tourne au réquisitoire. 2) Julien utilise une didascalie et le gérondif en affermissant sa voix, il ne tremble pas, devient plus fort donc il ne suscite pas la pitié des juge, je cite « je ne vous demande aucunes grâce » il utilise la négation partielle avec le « ne…aucunes ».

On comprends qu’il ne dit pas ça pour se défendre mais prcq’ il montre son courage.

Il y a une personnification du destin lorsqu’il dit « Je ne fais point d’illusion, la mort m’attend elle sera juste » il parle de sa mort prochaine avec le présent et le futur proche. Lorsqu’il dit « elle sera juste » il est en accord dont la façon il est jugé car il a voulu tuer son égérie.

Il y a un superlatif hyperbolique de supériorité car il dit « la plus digne de tous les respects de tous les hommages », il insiste sur son admiration envers Madame de Rénal.

Il hyperbolise et compare sa tentative a un matricide, je cite « mon crime est atroce, et il fut prémédité » il se condamne lui-même, il a honte de ce qu’il a tenté de faire.

Il explique dans un phrase complexe qu’il se condamne pour le mal fait à Mme.

De Rénal et que la société le condamne pour avoir conntrer.... »