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étude linéaire scène de la rencontre au bal Princesse de Clèves

Publié le 05/11/2023

Extrait du document

« La Princesse de Clèves est un roman classique écrit par Mme de la Fayette au XVIIe siècle sous le règne du roi soleil Louis XIV.

Cependant livre raconte l’impossible histoire d’amour entre ladite Princesse de Clèves, déjà mariée, et le duc de Nemours le tout à l’époque de la cour de Henri V.

L’extrait de texte proposé ici est la première rencontre des deux amoureux lors d’un bal organisé par le roi en l’honneur du mariage de sa fille.

La princesse de Clèves, peu de temps après son entrée a la cour, vient de se marier au prince de Clèves.

Le duc de Nemours lui arrive de l’étranger pour assister au festin royal.

Les deux protagonistes se sont tout deux fait connaître à la cour de par leur grande beauté si bien que le Roi les prie de danser ensemble. Dans les premières lignes on observe la préparation de la princesse de Clèves qui « se pare » pour le bal.

L’événement s’annonce grandiose : la présence de toute la cour est attendue, on parle de « festin royal » et le palais du « Louvre » est évoqué.

Cette préparation souligne de la nécessité de l’apparence de bien paraître.

Cela porte ses fruits dans les lignes qui suivent, car son entrée ne passe pas inaperçue et « l’on admirera sa beauté et sa parure ».

S’ensuit l’arrivée du duc de Nemours que l’on pourrait qualifier de théâtral.

On la voit du point de vue de la pdc, car on le découvre en même temps qu’elle.

Son attention est détournée : « comme elle dansait […] il se fit un grand bruit près de la porte », et la nôtre avec.

L’entrée du duc est remarqué par les invités « on faisait place » mais la princesse ne l’a pas encore vu.

Quelqu’un est entrée, mais on ne sait pas qui, elle la pdc non l’auteur créer du suspens.

Elle arrête de danser et cherche un nouveau partenaire.

Le roi, figure d’autorité, leur impose implicitement de danser ensemble, il le fait exprès : « le roi lui cria de prendre celui qui arrivait ».

Le champ lexical de la vue rentre en jeu : « elle cherchait des yeux », « vit un homme ». C’est le coup de foudre visuel donc toujours basé sur l’apparence.

Elle devine sa possible identité immédiatement « ne pouvoir être que monsieur de Nemours ».

La pdc paraît complètement envoûté par la vision de duc, on le voit par les termes « surprise » « l’air brillant » « étonnant ».

On voit une description à travers sa vision, dont le champ lexical est toujours présent (« voir » x2 « vu »).

Puis l’on passe au point de vue du prince lui aussi captivé par la pdc ce dernier paraît statufier et avoir perdu ses mots « tellement surpris », de.... »

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