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Étude linéaire n°6 « Acte 3 scène 9 »les fausses confidences Marivaux

Publié le 22/06/2024

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« Étude linéaire n°6 « Acte 3 scène 9 »les fausses confidences Marivaux Introduction : Marivaux est un des plus grand dramaturge français, du siècle des lumières. Ces comédiens critiquent un ordre social ou la naissance prévaut sur le mérite. les fausses confidences est une comédie en trois actes et en prose.

Jouer pour la première fois en 1737 par les comédiens italien, Comment l’ingénie du bois, en faisant croire à Araman, qu’il conspire contre Dorante renforce l’attachement amoureux de la maîtresse pour son intendant? Annonce du plan : Dans un premier temps, nous verrons que du bois se moque de Dorante pour mieux susciter chez Armin, une pitié amoureuse(du début de la scène à « fautil tuer cet homme ? ») puis, dans un deuxième temps du bois, organise habillement un rendez-vous entre les amoureux(De « j’y ai pourvu » à « n’estce pas Madame ? ») enfin du bois, suscite la colère d’Arama par ses stratagèmes(de « quoi!c’est a vous »a la fin) 1-du bois se moque de Dorante pour mieux susciter chez Armin, une pitié amoureuse(du début de la scène à « faut-il tuer cet homme ? ») Bois s’exprime, comme si Haram était « enfin délivré » du que constitue Dorante dans sa maison.

Bois s’amuse à déprécier et refer l’intendant par le pronom.

« on.

», « vous envoie délivrer ».

Les tournure sur perla Tive, « tout ce qu’il voudra, plus rien craindre » exprime une condamnation lourde, à l’écart du bourgeois ruiné, qui osa transgresser l’ordre social par « sa folie » amoureuse Par la folie, le Valais véhicule donc une dénonciation sociale à l’encontre du petit bourgeois arriviste.

Du bois, un car la figure du Valais jaloux Du bois poursuit son blâme cruel en moquant un Dorante, avec lentilles, thèse plus mort que vif, mais l’hyperbole renvoie de Dorante, une image galante pour araminte Bois poursuit cette description de l’amant, « si défait six pals si triste, »l’énumérations ternaire et l’anaphore deux l’adverbe intensif donne une véritable force rhétorique à cette fausse confidence.

En effet, du bois cherche à travers cette description à émouvoir Araminte .

Cette dernière est d’ailleurs égarée comme l’indique la didascalie.

Dans cette pièce, le corps relève le trouble intérieur que le langage cherche à cacher. Ainsi Araminte affecte par le subjonctif, l’autorité d’une grande bourgeoisie.

« mais qu’on n’aille donc voir » Les trois interrogations suivantes forment une gradation qui révèle son besoin pressant de ce courrier.

Dorante, « quelqu’un a-t-il suivi ? Que ne le saviezvous ? Faut-il le tuer cet homme ? La question rhétorique tragique, « faut-il tuer cet homme » révèle son attachement pour intendant qu’elle ne souhaite pas faire souffrir 2-du bois, organise habillement un rendez-vous entre les amoureux(De « j’y ai pourvu » à « n’est-ce pas Madame ? ») Dubois assure à Armin qu’il maîtrise la situation.

« j’y ai parvenu Mme », avec le passé composé à la valeur d’accompli, ainsi que l’adresse poli « madame. » Dubois Surjoux, le Valais, fidèle au service de sa maîtresse.

Le pronom personnel, adverbial.

»y.... »

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