Etude linéaire: Le pouvoir des fables

« Etude Linéaire n°2 Les Fables de La Fontaine texte n° 4, livre 8 Jean de La Fontaine XVIIème siècle Apologue Le Pouvoir des Fables, (2 ème partie) 1678 Introduction : Présentation de La Fontaine : fabuliste/moraliste du XVIIème siècle, appartient au mouvement du classicisme, fréquente des épicuriens au salon de Mme de La Sablière, il adhère donc à l’idée du Carpe Diem (vivre dans le moment présent). Il place l’association du « placere » et « docere » dans beaucoup de ses œuvres. Présentation du texte : Un orateur essaye de prévenir le peuple d’Athènes d’un danger imminent, mais il n’est pas écouté.

Il commence donc à raconter l’histoire fictive et immédiatement, il arrive à capter l’attention du peuple.

Finalement, l’orateur reproche d’être intéressé par des histoires d’enfants en non d’un danger important. LECTURE A HAUTE VOIX PLAN I) v.1 à 15 L’échec de l’orateur a.

Un auditoire peu sensible b.

L’inanité du discours de l’orateur II) Pouvoir des fables a.

Une fable simple et éfficace b.

Un peuple réceptif c.

La fable un divertissement utile EXPLICATION I) v.1 à 15 L’échec de l’orateur a.

Un auditoire peu sensible La Fontaine dévalorise le peuple, dès le vers 1 en le qualifiant de "vain et léger", deux adjectifs peu élogieux. Ensuite, il définit le peuple par la métaphore "L'animal aux têtes frivoles". D'habitude La Fontaine humanise des animaux dans ses fables, ici il fait le. »