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Etude linéaire Annie Ernaux « La femme gelée »

Publié le 02/06/2022

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« Français TEXTE 1 Annie Ernaux « La femme gelée » CLÉ en quoi cet extrait nous montre t il le combat et la révolte de l’auteur INTRO Annie Ernaux, auteur du 20e siècle écrit des romans autobiographiques a travers lesquels elle raconte les moments difficiles de sa vie tels que son cancer du sein ou encore le décès de sa mère. Dans le roman La femme gelée elle évoque de son mariage, du droit des femmes ou encore de l’égalité hommes femmes dans la société.

Ce roman retrace sa vie d’enfant, d’adolescente puis d’adulte jusqu’à son mariage.

Les débuts étaient comme elle avait pu l’imaginer mais elle s’est très vite faite rattrapée par la réalité des rôles inégaux que la société attribue a l’homme et a la femme. Ainsi nous allons voir en quoi cet extrait nous montre t il le combat et la révolte de l’auteur.

Nous verrons dans la première partie un couple qui se ressemble, puis dans la seconde partie les différences au sein de ce même couple et pour finir nous verrons que ces différences sont installés depuis bien longtemps par des modèles hérités de leurs enfance respectives. ÉTUDE DES MOUV: mouvement 1 un couple qui se ressemble (lignes 1 à 8) «un mois, trois mois que nous sommes mariés» CCT, jeune couple le pronom «nous» et l’adverbe «ensemble» accentue la similarité et la ressemblance «jeune couple moderno-intellectuel» expression désignant qu’ils appartiennent au même niveau social « la cocotte minute, cadeau de mariage si utile vous verrez» «compte minute, autre cadeau» ironie, la mention des cadeau apporte une rupture dans l’image méliorative donnée jusque la mouvement 2 une différence sur les taches ménagères (lignes 8 à 18) «finie la ressemblance» phrase nominale, coupure «l’un des deux...arrête, attend, ouvre, passe, revient» énumération, beaucoup de taches faites par l’un d’entre eux «elle avait démarré, la différence.

Des le plus jeune age» personnification de la différence, inégalité des le plus jeune age «seule» ajd féminin à plusieurs reprises, elle fait tout «plonger, éplucher, laver» seconde énumération des taches qu’elle fait «supériorité» comparatif, il>elle mouvement 3 des modèles hérités de l’enfance (lignes 18 à 28) «le genre de ton père, pas le mien» comparaison, éducation différentes «mes parents, l’aberration, le couple bouffon» discours indirect libre, interprétation des paroles de son mari «non je n’en ai...un point c’est tout» discours rapporté, le ton monte et devient vexant pour elle «a toi d’apprendre ma vieille» l’apostrophe ma vieille est péjoratif alors qu’il sont un jeune couple «devant le buffet...cuire» énumération de la liste pénible de nourriture sous ses yeux «fini la nourriture...corvée» analepse, elle est nostalgique, repense a son enfance. »

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