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Étude de Cas - Londres

Publié le 08/06/2022

Extrait du document

« Étude de Cas - Londres Londres est une métropole de rang mondial qui appelle un rayonnement à l'échelle mondiale.

Premièrement, la ville de Londres est un grand pol touristique qui, en 2017, attire 20 millions de touristes de chaque coin du monde.

En effet, Londres est la ville la plus mentionne au Twitter avec 630 milles de tweets, c’est à dire environ un tiers de plus comparé au autres grands métropoles comme Paris (431 milles tweets) et New York (292 milles tweets).De plus, le document 4 nous montre que Londres est à la fois un réseau de communication et une métropole étalée et polycentrique.

Il existe plusieurs aéroports internationaux et un port, et plusieurs grandes villes avec entre 70 et 200 millions (ex: Medway Towns).Ceci montre que Londres assure des connexions possibles avec les pays voisins et lointains, via des aéroports internationaux et même un port.

D'autre part, Londres est un pôle financier international.

Il est classé première pour la ville d'opportunité.

Ceci est vu dans les documents 1 et 2.

La City est une addition de quartiers d’affaires qui cumule 400 000 salariés et 500 banques internationales, compagnies d’assurance et financières.

De plus, la cité montre l'attractivité internationale.

Dit être un “melting pot”, il accueille des talents de tous les pays et de tous les domaines tant qu’avocats et représentants des grandes entreprises, peut être dû au fait que l’Anglais est une langue parlée à travers le monde, ce qui fait que le travail dans cette ville est très facile.

Alors pour conclure, Londres est une métropole de rang mondiale touristique qui est une porte d'entrée d’Europe avec de solides infrastructures, un système juridique respecté. Malgré, le fait que Londres est une métropole internationale, elle est fragmentée.

Il fait face à une forte fragmentation sociale, économique et géographique.

Tout d’abord, Grand Londres, étant précédemment dit un “mixing pot” qui accueille plusieurs minorités ethniques.

Pourtant nous pouvons constater que ces minorités se rassemblent plutôt dans “Outer London”; une grande zone oú entre 30-40% de la population est asiatiquet à l’Ouest tandis que les noires sont plutôt situées au Nord Est.

Pourtant, une grande partie du Sud-Est de Inner London est notamment 40% asiatique et 20% noire.

En plus, d’après les documents 5 et 9, nous pouvons constater qu’il existe une forte fracture immobilière à Londres.

Les quartiers centraux de Londres, tels que South Kensington et Westminster, coûtent 18 000 euros pour vivre. C'est trois fois plus que les zones périphériques comme Westford et Greenford où il n'en coûte que 6 000.

Cela a conduit Londres à profiter des régions plus pauvres telles que Old Street, un quartier délabré devenu lieu de haute technologie.

Dans cette banlieue, un cluster d'entreprises du web installé en 2008 a profité des faibles coûts et c'est maintenant devenu une mini vallée de silicone.

Cela a de nombreuses conséquences sur le plan social.Les quartiers de Chelsea, Kensington, Belgravia et Knightsbridge concentrent l'aristocratie anglaise qui sont aujourd'hui la propriété des héritiers des célébrités et des hommes d'affaires du monde entier.

Le revenu des habitants de Londres est très important car ceci crée une classe qui s'appelle la Super Rich, ou la richesse provient des entreprises de la City ou l’installation des familles riches de l'ex-URSS.

Le document 6, un caricature, montre les effets de ceci et cette division de la richesse des quartiers porte des conséquences sur l'espérance de vie. Dans les quartiers les plus riches, l'espérance de vie peut atteindre jusqu'à 96 ans tandis que dans un quartier comme Highbury, ou il est plus pauvre, l'espérance de. »

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