En quoi les funérailles de Victor HUGO permettent-elles d'ancrer les valeurs de la troisième république
Publié le 18/11/2021
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«
LASSOUED Mehdi 1ere3
HISTOIRE
Évaluation la Troisième République (devoir maison): Étude de documents
En quoi les funérailles de Victor Hugo permettent d’ancrer les valeurs de la
Troisième République dans la société française ?
Le 5 septembre 1870, Victor Hugo rentre en France au lendemain de la proclamation
de la III e
République.
Ce nouveau régime, mis en place dès la chute de l’Empire de Napoléon
III en 1870, connait une difficile accroche mais réussi à perdurer dans le temps.
Accueilli
triomphalement par les Français, élu député puis sénateur, il reste une figure importante de la
République jusqu'à sa mort en 1885 .
Le premier document s’intitule « un poète républicain »
où nous est présenté un poème de Victor Hugo «Lux » paru en 1853 dans Les Châtiments .
Ce
poème fait l’éloge de la république selon Hugo.
Le deuxième document s’intitule « la mort du
roi des poètes » et est un extrait d’un discours d’Emile Augier, membre de l’académie
française, prononcé le 1 er
juin 1885 lors des funérailles de Victor Hugo dont il fait l’oraison
funèbre de ce dernier.
A l’aide de ces documents, nous nous demanderons en quoi les
funérailles de Victor Hugo permettent d’ancrer les valeurs de la Troisième république dans la
société française.
Après avoir étudié en quoi Victor Hugo était une véritable figure
républicaine, nous verrons que les funérailles de Victor Hugo permettent de réaffirmer l’unité
de la nation autour de la troisième république.
Tout d’abord, Victor Hugo est l’une des figures républicaine les plus influentes de son
temps et prône le système républicain.
Grand écrivain et poète, il met en avant les valeurs et
les libertés individuelles que permet la IIIe république dans de nombreux écrits.
Ici, dans
« Lux », il expose les avances sociales et libérales ainsi qu’une paix durable défendu par la
république.
Dès les lignes 5 et 6 « le passé s’appelle haine et l’avenir se nomme amour » où il
fait référence, d’abord, au passé douloureux et militaire de l’Empire de Napoléon III
(notamment la guerre de 1870 face à la Prusse) puis à l’avenir stable de la république avec la
loi de 1884 qui interdit tout retour à la monarchie ou à l’Empire.
De plus, Victor Hugo remet
en valeur les libertés individuelles prônées par cette nouvelle république aux lignes 14 « les
lois n’ont plus de bagnes » référence a son propre exile force car opposant a Napoléon III
mais aussi ligne 15 « Ou est donc l’échafaud ? Ce monstre a disparu.
» où il défend la liberté
d’expression et d’opposition autrefois bâclé lors des régimes monarchiques.
Aux lignes 21 et.
»
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