En parcourant la rubrique « faits divers » du quotidien « Le courrier Picard » daté du 15 mai 2002, Charles Villevieille a pris connaissance des informations suivantes et s'interroge sur leur pertinence. Répondez-lui de façon motivée.
Publié le 15/07/2020
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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : En parcourant la rubrique « faits divers » du quotidien « Le courrier Picard » daté du 15 mai 2002, Charles Villevieille a pris connaissance des informations suivantes et s'interroge sur leur pertinence. Répondez-lui de façon motivée.. Ce document contient 1265 mots soit 3 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format PDF sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Droit.
« I. « Au lendemain de l'annonce de la fermeture de leur usine, des responsables syndicaux armés de bâtons ont retenu hier, contre leur gré, trois dirigeants de l'entreprise Morendi en les privant pendant quelques heures de leur liberté d'aller et de venir. Interpellés par les forces de l'ordre, les responsables syndicaux seront jugés au mois d'octobre prochain par le tribunal correctionnel de Beauvais. Selon leur avocat joint par téléphone, les prévenus ne risquent aucune condamnation dans la mesure où leur action s'est inscrite dans le cadre de la lutte syndicale, qu'elle ne s'est accompagnée d'aucun contact physique direct avec les dirigeants, et qu'elle n'a entraîné aucune incapacité de travail chez ces derniers. » II. « Le 13 mai dernier à 23 h 30, un automobiliste qui circulait à très vive allure à bord d'un véhicule dépourvu d'éclairage et équipé de pneumatiques lisses a grièvement blessé Mme Pompilius enceinte de 8 mois alors qu'elle suivait le défilé de la fanfare municipale dans le centre-ville d'Amiens. Malgré l'intervention rapide des secours, le médecin du Samu n'a pu que constater la perte de l'enfant porté par Mme Pompilius. C'est la troisième fois en moins d'un mois qu'un tel accident corporel se produit dans la « capitale » picarde. Ces drames auraient sans nul doute pu être évités si les autorités locales avaient réagi plus rapidement en interdisant la circulation pendant la durée du défilé, en prescrivant la mise en place d'une signalétique appropriée et l'installation de barrières de sécurité, ou bien en postant des policiers municipaux aux intersections les plus dangereuses. Contacté par téléphone, le maire d'Amiens considère que l'automobiliste, en état ...»
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En
parcourant la rubrique « faits diver s » du quotidien « Le cour
rier Picard » daté du 15 mai 2002, Charles Villevieille a pris
connaissance des informations suivantes et s'inter roge sur leur perti
nence.
Répondez-lui de façon motivée.
I.
« Au lendemain de l'annonce de la fermeture de leur usine, des
responsables syndicaux armés de bâtons ont retenu hier, contre leur
gré, trois dirigeants de l'entreprise "Morendi" en les privant pendant
quelques heures de leur liberté d'aller et de venir.
Interpellés par les
forces de l'ordre, les responsables syndicaux seront jugés au mois
d'octobre prochain par le tribunal correctionnel de Beauvais.
Selon
leur avocat joint par téléphone, les prévenus ne risquent aucune
condamnation dans la mesure où leur action s'est inscrite dans le
cadre de la lutte syndicale, qu'elle ne s'est accompagnée d'aucun
contact physique direct avec les dirigeants, et qu'elle n'a entrâmé
aucune incapacité de travail chez ces derniers.
»
Il.
« Le 13 mai dernier à 23 h 30, un automobiliste qui circulait à
très vive allure à bord d'un véhicule dépourvu d'éclairage et équipé
de pneumatiques lisses a grièvement blessé Mme Pompilius enceinte
de 8 mois alors qu'elle suivait le défilé de la fanfare municipale dans
le centre-ville d'Amiens.
Malgré l'intervention rapide des secours, le
médecin du Samu n'a pu que constater la perte de 1' enfant porté par
Mme Pompilius.
C'est la troisième fois en moins d'un mois qu'un tel
accident corporel se produit dans la « capitale » picarde.
Ces drames
auraient sans nul doute pu être évités si les autorités locales avaient
réagi plus rapidement en interdisant la circulation pendant la durée du
défilé, en prescrivant la mise en place d'une signalétique appropriée
et l'installation de barrières de sécurité, ou bien en postant des poli
ciers municipaux aux intersections les plus dangereuses.
Contacté par
téléphone, le maire d'Amiens considère que l'automobiliste, en état.
»
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