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Émirats arabes unis (EAU) - 2002-2003: Libéralisation et quête de transparence

Publié le 14/09/2020

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« file:///F/dissertations_pdf/Nouveau%20dossier/450799.txt[14/09/2020 16:45:03] Émirats arabes unis (EAU) 2002-2003 Libéralisation et quête de transparence Les spéculations sur l'état de santé du président de la Fé dération Cheikh Zayed se sont multipliées, son fils aîné Cheikh Khalifa, prince héritier d'Abu Dhabi, tenant l es rênes du gouvernement.

La capitale politique Abu Dhabi a continué à mener avec succès les privatis ations des secteurs de l'eau et de l'électricité.

Dubaï, cité marchande, a poursuivi les initia tives dans les domaines du tourisme (îles artificielles de Palm Islands), des nouvelles technologies (parc de Du bai Silicon Oasis) et des médias (lancement de la chaîne Al-Arabiyya – concurrente d'Al-Jazeera ( Qatar) et d'Abu Dhabi TV – émettant à partir de Dubaï).

La cité a également décidé d'ouvrir le droit du sol aux étrangers dans des zones franches immobilières.

À la suite des accusations de Washington concernant le rôle suppos é des Émirats dans le transit et l'accueil de capitaux liés au terrorisme, une loi antiblanchiment a é té promulguée en mai 2002, alors que le «sommet» du FMI et de la Banque mondiale devait se tenir à D ubaï en 2003.

Les relations avec l'Iran, marquées par le différend sur les îles Tomb et Abu Mussa, se so nt améliorées à la suite de la visite à Téhéran, en mai 2002, du ministre des Affaires étrangères.

L a Fédération a condamné la politique américaine vis-à-vis d'Israël et a fait savoir aux États-Uni s qu'elle ne permettrait pas l'utilisation des bases installées sur son territoire (1 200 soldats américains à Al-D hafa) pour des frappes contre l'Irak, prônant un règlement pacifique du conflit.

Les Émirats, qui souhaitaient d epuis 1995 la levée des sanctions frappant l'Irak, ont appelé le président irakien Saddam Hussein à s'exiler avant le lancement de l'opération Liberté pour l'Irak.. »

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