Databac

EMC : Les questions environnementales

Publié le 26/06/2024

Extrait du document

« Thème : Les questions environnementales Sujet : La transition vers des énergies renouvelables 2022-2023 Page 1 Sommaire : Page 1 : Présentation Page 2 : Sommaire Page 3 : Introduction Page 4 : Les acteurs de la transition vers des énergies renouvelables : les acteurs politiques Page 5 : Les acteurs de la transition vers des énergies renouvelables : les associations Page 6 : Les acteurs de la transition vers des énergies renouvelables : les acteurs privés Page 7 : Les enjeux et les risques : la situation actuelles Page 8 : Les enjeux et les risques : les enjeux Page 9 : Les enjeux et les risques : les risques Page 10 : Conclusion Page 11 : Annexes 1 et 2 Page 2 L’épuisement des énergies fossiles et le dérèglement climatique font que la transition vers les énergies fossiles est de plus en plus un débat dans le monde notamment en France. Cette transition majeur et ces énergies renouvelables seraient importantes à la limitation de l’empreinte carbone et environnementale.

En France, l’empreinte carbone est estimée à 604 millions de tonnes équivalent de dioxyde de carbone (CO2) (source : www.satistique.developpement-durable.gouv.fr) .

L’empreinte carbone de la France est la quantité de gaz à effets de serre (GES) produite par le pays et la consommation des ménages, des administrations publiques et des organismes à but non lucratif et les investissements.

Les émissions sont principalement dues au transports, logement, biens de consommation, à l’alimentation, aux services.

Cette empreinte permet donc d’évaluer l’émission de CO2 de la France.

Actuellement, la France est au 44e rang mondiale de cette émission (source : www.hellocarbo.com).

Dans ce dossier documentaire nous allons donc voir quels sont les enjeux et les risques de la transition vers les énergies renouvelables.

Pour cela, nous allons voir les différents acteurs de la transition vers les énergies renouvelables : les acteurs politiques, les acteurs associatifs, et les acteurs privés.

Puis nous allons voir les enjeux et les risque avec la situation actuelle, puis les enjeux et les risques. Page 3 Parmi les acteurs de cette transition vers les énergies renouvelables, on retrouve les acteurs politiques engagés dans ce mouvement qui est donc écologique et politique.

En France, le ministère de l’écologie a dans ses objectifs de préparer la France futur système énergétique : le mix des énergies fossiles et renouvelables contenant donc les énergies : solaire, éolien, biogaz, géothermie… (source : www.ecologie.gouv.fr) on peut aussi retrouver le parti écologiste qui a ce même objectif. On pourrait le débat actuel sur les éoliennes et leur mise en place .

On retrouve d’un coté l’extrême droite et la droite qui est contre cette énergie.

Leurs arguments sont les suivants : l’énergie éolienne est intermittente et aléatoire, en effet, les éoliennes de délivrent que 15 % à 40 % de leur puissance (source : www.science-et-vie.com).

La densification des éoliennes impacte le paysage.

Les éoliennes ont aussi un impacte sur les oiseaux et les chauves-souris.(source : www.science-etvie.com) Le chef actuel de l’état, Emmanuelle Macron s’est prononcé sur le sujet.

Il a défendu « le pragmatisme au cas par cas » sur les projets éoliens, pour éviter « d’abîmer nos paysages:c’est une part de notre patrimoine, de notre richesse profonde,de notre identité.

» C’est pourquoi le président préfère mettre en avant l’énergie solaire, source de « moins de nuisances » (source : www.lemonde.fr) C’est sans doute le Rassemblement national (RN) qui, dans son discours, dénonce le plus l’éolien, au nom de la défense de la ruralité, des « paysages » et des « citoyens sacrifiés ».

Marine Le Pen, candidate du RN pour 2022, regrette « une politique d’installation massive qui va inexorablement changer le visage » du pays.

Jordan Bardella, numéro deux du parti, a également réclamé un moratoire sur les implantations d’éoliennes en Ile-de-France, dans une région qui se distingue pourtant par son retard en la matière (source : www.lemonde.fr).

Les arguments soutenant l’éolien sont donc les suivants : les éoliennes produisent très peu de CO2.

De plus, la France prévoit d’installer des parc éoliens off-shore, c’est à dire en mer.

L’avantage de ces parcs est que les vents de mers sont plus fort et les éoliennes produisent donc plus d’énergies (source : www.revolutionenergetique.com).

On retrouve ce genre de débat énergétique avec les centrales nucléaires, dans lequel on retrouve les thématiques suivantes : les risques technologiques et environnementaux liés à l'industrie nucléaire (pollution radioactive) ; les risques liés au stockage et au traitement des déchets radioactifs (ceux-ci pouvant avoir une période radioactive de plusieurs milliers d'années) ; les conséquences d'un accident grave ou majeur menant à une catastrophe nucléaire depuis les précédents de Tchernobyl et de Fukushima ; les aspects politiques, problème de l'usage du secret dans des démocraties, légitimé pour des raisons de sécurité nationale ; question de géopolitique, de l'impact du nucléaire dans la politique énergétique des États, et donc de ses conséquences sur la croissance économique et la position politique ; les amalgames et la perméabilité entre nucléaire civil et nucléaire militaire (prolifération nucléaire) ; l’utilisation de l’énergie nucléaire pour la réduction des émissions de gaz à effet de serre1, émissions quantifiées en équivalent CO2 ; la discussion économique sur le Mix énergétique prenant en compte l'ensemble du cycles de vie de l'énergie nucléaire comme des autres technologies ; ainsi que : les risques liés au terrorisme ; les risques induits par une guerre ; le réchauffement des milieux ; les conséquences sur la structure des réseaux électriques dues à la taille et à la situation des unités de production ; les risques géopolitiques et de dépendance liés à l’approvisionnement en combustible (matières fissibles pour l’énergie nucléaire, charbon, gaz, pétrole) (source : fr.wikipedia.org). Page 4 Dans le mouvement de la transition énergétique on peut aussi retrouver un second type d’acteurs : Les acteurs associatifs.

On retrouve donc différentes associations qui sont pour cette transition.

On a par exemple le CLER: Réseau pour la transition énergétique (anciennement Comité de liaison pour les énergies renouvelables) est une association française, agréée pour la protection de l'environnement, créée en 1984.

Elle a pour objectif de promouvoir les énergies renouvelables, la maîtrise de l’énergie et plus largement, la transition énergétique.

Le CLER a pour objectifs : développer et animer les réseaux et les dynamiques d’échanges ; diffuser les meilleures pratiques ;accompagner la transition énergétique grâce à des propositions formulées auprès des pouvoirs publics, de la société civile et des médias ; informer et communiquer sur la transition énergétique grâce des outils numériques, des publications et des événements ; déployer des solutions concrètes pour mettre en œuvre la transition sur le terrain (source : www.cler.org ).

Le CLER rassemble des acteurs engagés dans la transition énergétique réunis autour de valeurs communes.

Les adhérents du CLER partagent : le constat que la situation énergétique française exige un changement profond justifié par des raisons environnementales, économiques, sociales et démocratiques.

L’objectif de réduire drastiquement les émissions de gaz à effet de serre, les risques industriels et les pollutions, de diminuer la dépendance de la société aux énergies épuisables, protégeant ainsi les ménages, les entreprises et les territoires des variations de prix ou de disponibilité des ressources énergétiques importées.

La vision d’une transition énergétique qui consiste à valoriser tous les gisements d’économies d’énergie par des actions de sobriété et d’efficacité énergétiques -, ainsi que de l’ensemble des potentiels de production d’énergie renouvelable, de manière harmonieuse et adaptée aux territoires d’où elle provient.

(source : www.cler.org ) L’association est engagée aux cotés de multiples structures, avec lesquelles nous menons des combats communs.

L’association est engagée aux cotés de multiples structurent, avec lesquelles elle mène des combats commun.

Elle siège par exemple au Conseil d’administration du Réseau Action Climat et d’Amorce, ainsi que d’Energie Partagée et de l’Agence de l’énergie et du climat de l’Est parisien (MVE) .

Le CLER est également membre de l’Agence parisienne du climat (APC) et sociétaire d’Enercoop dont il a contribué à la création (source : www.cler.org ).

Le CLER n’est pas la seule association impliqué dans le mouvement car on retrouve aussi l’ATFE : Agence Française pour la Transition Energetique qui propose des systèmes de panneaux solaires, des systèmes électrique à faibles consommation, des pompe à chaleur… (source : www.afte.fr) Page 5 Le troisième type d’acteur est l’acteur privé.

Il y a par exemple NEPSEN, un cabinet de conseil et d’ingénierie indépendant, spécialisé dans les métiers de la transition énergétique & écologique depuis quarante ans.

NEPSEN accompagne les acteurs publics et privés dans la réalisation de projets sobres en énergie et respectueux de l’environnement, garantissant des résultats durables et rentables grâce à son organisation par marché (source : www.nepsen.fr) .

Chaque client, qu’il s’agisse d’une administration ou d’une entreprise, d’un bailleur social ou d’une copropriété, d’un énergéticien ou d’un industriel, du monde de la santé ou de la formation, trouve à son écoute un « éconergéticien engagé » au sein des différents métiers du groupe : conseil en transition écologique, ingénierie du bâtiment durable, de la structure bas carbone, de l’énergie renouvelable ou de l’industrie éco-efficiente, ou encore services.... »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles