EMC - le transport aérien
Publié le 10/04/2021
Extrait du document
«
Le coût environnemental désigne l’ensemble des modifications qualitatives,
quantitatives et fonctionnelle de l’environnement, qu’elles soient positives ou négative
engendré par un projet, un processus ou encore un produit, de sa conception à sa fin de
vie.
L’impact environnemental est quantifié grâce à des indicateurs.
Pour l’air, on peut
citer la contribution sur les gaz à effet de serre ou la destruction de la couche d’ozone.
Pour l’eau, on peut citer sa toxicité.
Quel est le coût environnemental de l’utilisation de l’avion, en particulier pour les trajets
courts ? C’est ce à quoi nous répondrons tout au long de cet exposé.
Dans un premier
temps, nous parlerons des arguments pour, puis ensuite, des arguments contre, et enfin
j’exposerai mon point de vue.
Tout d’abord, le transport aérien est le moyen de transport le plus sûr pour
voyager.
En effet, les accidents sont rares et beaucoup moins nombreux que les accidents
de la route.
En 2018, 3248 personnes ont perdus la vie dans un accident de la route en
France alors que 556 personnes sont décédées dans un accident d’avion dans le monde.
Les durées de trajet sont beaucoup plus courtes, à titre d’exemple, un trajet Paris
Marseille durera 1 h 19 alors qu’en voiture, le trajet s’effectuera en 7 h 11.
Le gain de
temps est donc indéniable.
Cela permet également de parcourir de longues distances en
un minimum de temps.
Par ailleurs, le confort reste supérieur aux autres moyens de
transports.
En effet, dans l’avion, le personnel navigant est à disposition des passagers et
est à l’écoute des diverses demandes des clients.
En comparaison avec la voiture, l’avion permet de se reposer ou de travailler.
La conduite
routière demande une attention constante et provoque de la fatigue.
De plus, en voiture
nous avons l'obligation de faire une pause toutes les deux heures, ce qui rallonge encore
le trajet.
Enfin, durant un vol, il n’y a aucun risque d’embouteillage.
L’heure d’arrivée est
respectée et indiquée aux débuts du vol.
Les retards des trains sont fréquents ce qui pose
souvent problème aux passagers, en particulier aux usagers allant travailler.
Cela permet
également de désengorger les routes et les autoroutes, Par exemple l’autoroute du Sud est
régulièrement embouteillée pendant les vacances d’été.
Plus les transports en commun de
type avion ou train serons utilisés, moins le réseau routier sera saturé.
Ensuite, le transport aérien est responsable d’environ 5 % des émissions de gaz à
effet de serre.
Il participe donc au réchauffement climatique.
L’association du transport
aérien international estime que d’ici 20 ans, le nombre de passager va doubler.
Les
émissions de CO2 vont donc encore augmenter.
A titre d’exemple, un trajet Paris Lyon
provoque une consommation de 1,49 kilos de CO2 en train, 27,26 kilos en bus, 79,49
kilos en voiture et 96,6 kilos en avion.
On constate que l’avion est le plus coûteux en
CO2, le moins couteux étant le train.
En 1980, est née l’idée de la compensation carbone.
Cela consiste à calculer son coût en CO2 et de le compenser dans des actions en faveur
du développement durable.
Le développement durable est un développement qui répond
aux besoins du présent sans compromettre les besoins des générations futures.
Ces
actions peuvent consister à protéger la nature, par exemple, dans des opérations de
nettoyage des plages.
Cependant, la compensation carbone n’a pas prouvé son efficacité.
La meilleure méthode et la plus efficace pour protéger la planete est de diminuer notre.
»
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