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ECJS

Publié le 17/05/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : ECJS Ce document contient 73 mots soit 0 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Droit.

« Euthanasie Lors de notre recherche   nous avons constaté  que le  d ébat sur l’euthanasie nous   confronte  à deux groupes  oppos és  : l’un affirme le droit de l’individu  à prendre   des d écisions concernant sa propre vie et sa propre mort en accord avec ses   propres croyances et valeurs, dans la mesure o ù cela ne nuit pas  à autrui   , l’autre   refuse ce droit puisqu’un m édecin ne peut pas l’appliquer sans encourir des   poursuites.   Il existe donc un dilemne:  doit on respecter la libert é de chacun et l'aider  à mourir   quand il le demande, ou doit­on au contraire respecter la vie jusqu'au bout ?   Cependant un certain nombre de points  existent : le refus de l'effort   th érapeutique et la prise en charge de la douleur. Or, la d écision de ne pas   commencer   ou poursuivre une r éanimation avance l'heure de la mort. C'est une   forme d'euthanasie passive.  La frontière est bien mince entre le refus de s'acharner et l'euthanasie.

Les mentalités changent, de plus en plus de personnes admettent qu'il pourrait exister une euthanasie d'exception, pour ceux qui le désirent. Il ne faut cependant pas oublier les unit és de soins palliatifs, qui sont   indispensables  à l'accueil des mourants, afin de leur permettre de partir   dignement. L a loi devrait  plus se occuper de fournir du soutien aux mourant que de se perdre   en veines conjecturations l égislatives de l’euthanasie active. En effet, il n’est pas   envisageable de l égaliser cette forme d’euthanasie, malgr é les nombreux pays   l’ayant permis, tout d’abord pour des raisons  éthiques parce que les m édecins ne   peuvent avoir droit de vie ou de mort direct sur le malade  et par peur des d érives   et d érapages in évitables que porterait une telle loi. On ne devra pas non plus tenir   compte de l’opinion publique, qui est quant  à elle favorable  à une l égislation de   l’euthanasie, car elle n’est pas au courant des m éthodes th érapeutiques et   palliatives ainsi que des aides psychologiques dont on dispose  aujourd'hui. Il ne   faut aussi pas oublier que plus en plus de personnes pensent que soins palliatifs   et droit  à l'euthanasie pourraient  être li és ce qui repr ésenterait, aux yeux de   beaucoup, la situation id éale  Cependant, le dilemme se pose plus  à l’endroit de l’euthanasie passive et de   l’acharnement th érapeutique. En effet, les m édecins, ont­ils le droit de le forcer  à   vivre   m ême si ils n’ont pas le droit  de donner la mort  à un patient d élib érément,   ont­ils le droit de le forcer  à vivre   . Si la r éponse est n égative, pourquoi distinguer  . »

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