Dossier 3 : La mémoire de la Shoah en France

« Dossier 3 : La mémoire de la Soah en France 1) La mémoire des victimes du génocide juifs se transmet à travers plusieurs moyens.

Tout d’abord, elle se transmet grâce aux divers monuments érigés dans toute la France où il y est inscrits les noms de toutes les personnes décédés victime de ce génocide durant la Seconde guerre mondiale.

Ensuite il y a les photos des objets amassés en masses dans les camps appartenant aux déportés, des prisonniers et leurs maigreur qui permettent de se souvenir et de montrer l’horreur de ce génocide.

Nous avons également les témoignages des familles entières qui ont été déportés comme par exemple le témoignages de Simon Veil ou encore grâce aux discours des différents présidents de la république pour soutenir se devoir de mémoire. 2) Au lendemain de la Seconde guerre mondiale, l’État n’était pas encore en mesure d’avouer la part de responsabilités qu’il avaient eu concernant la déportation de français juif.

Le terme de « devoir de mémoire » est arrivé assez tardivement puisqu’il est apparut en 1990.

Le devoir de mémoire et la responsabilité de la France c’est fait crescendo, après 1990, une série d’événements se sont enchaînés ce qui permet aujourd’hui d’avoir un de voir de mémoire envers les déportés plus correct que celui d’après guerre.

Après le discours de Jacques Chirac qui avouait enfin la part de responsabilité de la France pour la déportation de juifs français notamment avec la rafle du Vel d’Hiv, le devoir de mémoire a pu croître et de nos jours la commémoration et l’hommage aux juifs français sont maintenant honoré tout les ans. 3) Pour faire perpétuer ce devoir de mémoire a travers les époques, de nombreux moyens sont mis en place.

Les actions de la république permettent de maintenir en place ce devoir en participant activement a ce devoir en commémorant et honorant les déportés juifs, les divers témoignages des déportés ou familles de déportés sont mis en lumière pour que l’on comprenne déjà l’horreur qu’a été ce génocide mais également pour ne pas que quelque chose de similaire se reproduise tellement c’était atroce et inhumain, les monuments aux morts sont également important car ils marquent dans le temps tous les noms des personnes décédés durant cette abomination. 4) Les déportés et leurs descendance ont un devoir de mémoire pour continuer a faire vivre ses personnes décédés a travers eux et pour ne pas qu’ils soient oubliés et que l’horreur de cette partie de l’histoire ne soit pas reconduise. 5) Non, les autorités publiques n’ont pas reconnus immédiatement la responsabilité du régime de Vichy pour la collaboration et la déportations de milliers de juifs en France.

Cela ne s’est fait que tardivement. »