DM SES déviance

« DM°5 – SES 1) Au 19eme siècle, le sociologue Emile Durkheim a repris les termes de solidarité mécanique et organique.

C’est avec l’arrivé de la révolution industrielle que la société va passer de l’un à l’autre.

En effet la solidarité représente des liens entre chaque individu dans la société.

Pour Durkheim, la solidarité est le « ciment » de la société et sans elle la société ne pourrait pas bien fonctionner, le lien social est essentiel dans la société dans laquelle on vit.

Ils existent deux formes de solidarité, d’une part il y a la solidarité mécanique, où la similitude des comportements et la ressemblance sont les valeurs essentielles au sein de la société.

Elle est composée généralement de petits groupes comme un groupe religieux par exemple.

Alors que au contraire la solidarité mécanique est composée de groupe de grande taille car elle est fondé sur la différence où chaque individu est dépendant.

Mais chacun a besoin des autres pour fonctionner malgré leurs différences car tous seul ils n’aboutiraient à aucun projet.

Comme au sein d’une grande entreprise ou d’une équipe dans un hôpital.

C’est exactement le même principe que les organes dans le corps humains, ils ont tous des rôles différents que personne ne peut remplacer. 2) En 2015, les ouvriers se sentent plus seuls ou même très seules que l’ensemble de la population de Strasbourg étudié.

En effet 20,4% des ouvriers ressentent de la solitude alors que 15,2% de l’ensemble de la population ont ce sentiment.

Il y a environ 5 points de pourcentage d’écart. 3) Le lien social est le ciment qui nous unis dans la société, il représente les liens invisibles qui relient tous les individus entre eux.

Soit par des liens familiaux, amicaux ou bien des liens professionnels.

Ils permettent de garantir la cohésion social et l’intégration a la société dans laquelle on vit de nos jours.

Plusieurs facteurs montrent l’affaiblissement des liens sociaux chez les individus, premièrement la précarité joue un rôle important dans cette situation.

Avoir un emploi aide les personnes à se sentir parfois moins seuls, à l’inverse les personnes aux chômages ont beaucoup plus le sentiment de solitude parce qu’ils ont aucun lien professionnel.

45,2% des chômeurs se sentent seules qui est un peu moins de la moitié.

On peut voir que les étudiants et les retraités sont ceux qui ressentent le moins ce sentiment dans la ville de Strasbourg avec une moyenne de 11%.

D’une part l’emploi et des évènements économiques peut être un critère très important dans l’affaiblissement des liens sociaux tous comme le quartier dans lequel on y vit ou du niveau de vie qu’on possédé.

Effectivement 43% des individus de « classes moyennes » et 36% des individus « pauvres » se sentent seuls. Alors que les individus favorisés ressentent beaucoup moins ce sentiment avec seulement 8.6% parce qu’il restreigne leurs connaissances donc leurs liens sociaux.

Cela s’explique avec la ségrégation où différentes populations ne veulent plus se côtoyer comme pour les personnes favorisées. La déviance se défini comme une transgression de normes et de valeurs dans une société dans laquelle on vit par un individu ou un groupe social.

Le contrôle social contrôle la déviance, c’est-à-dire que la société va contrôler la conformité sociale et les comportements déviants ou non au sein de la société au risque d’une sanction social et d’être « anormal ».

Mais avant tous pour qu’un comportement sois qualifié de déviant une faut obligatoirement l’exitance d’une norme dans la société.

De plus nous savons que les normes ne sont pas identiques suivant la localisation et des groupes sociaux. D’une part, une norme est une règle auxquelles on doit se conformer dans n’importe quelle société dans le but de s’intégrer dans la société dans laquelle on vit.

Toutes infractions à ces normes implicites construites par les sociétés par les institutions et par les interactions entre les individus ; sera considéré comme quelqu’un de déviant et d’anormal. L’individu sera donc exclu dans la société.

Néanmoins les normes sociales sont différentes selon les pays et la localisation.

En effet les sociétés sont des ensembles d’individus qui vivent en groupe organisé.

Ainsi toutes les sociétés n’ont pas les mêmes organisations car leur processus de socialisation a été différentes des autres.

Leurs apprentissages de normes et de valeurs les différencient car les valeurs sont des grands principes qui conduisent nos actes.

Les sociétés n’ont également pas les mêmes normes partout ni la même tolérance.

On sait qu’une société ne peut pas fonctionner sans déviance et dans certains pays la flexibilité des normes sera moins élevée que dans d’autre.... »