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diversité reproduction sexué

Publié le 08/01/2022

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« L2 : diversité génétique des individus à reproduction sexuée au sein d’une population L’écrevisse marbrée est une espèce apparue très récemment.

Elle n’est composée que de femelles, se reproduisant de façon asexuée : ce sont des œufs non fécondés, formés par mitose, qui sont à l’origine des embryons. La reproduction sexuée est donc source de diversité au sein d’une population. 1.

Vocabulaire : rappels de première Diploïde : Une cellule biologique est diploïde lorsque les chromosomes qu'elle contient sont présents par paires (2n chromosomes) : chaque chromosome est en d eux exemplaires dans la cellule, les deux exemplaires d’un même chromosome constitue une paire. Haploïde : une cellule est haploïde lorsque les chromosomes qu’elle continent son présent en un seul exemplaire chacun. La méiose est une suite de deux divisions cellulaires qui permet d’obtenir des cellules haploïdes à partir de cellules diploïdes .

La fécondation rétablit la diploïdie, grâce la fusion de deux noyaux haploïdes. Un individu diploïde est dit homozygote pour un gène s’ il porte les deux mêmes allèles de ce gène sur les deux chromosomes d’une paire.

Au contraire si ce gène est représenté par deux allèles différents, il est hétérozygote .

La dominance est, en génétique, une relation entre deux allèles d'un même gène, dans l aquelle le phénotype des individus hétérozygotes est déterminé intégralement par l'un des allèles, sans contribution du second.

Les deux allèles sont qualifiés de dominant et récessif l'un par rapport à l'autre. Si le phénotype dépend de l’expression des d eux allèles, les allèles sont qualifiés de codominants .

2.

Étudier la diversité génétique induite par la méiose par des méthodes statistiques a.

Méthode d’é tude (chez des diploïdes ) et résultats Premier croisement : on croise des individus homozygotes différant au niveau de 1 ou 2 gènes (ces deux types ne portent pas les mêmes allèles pour 1 ou 2 gènes) .

On obtient donc des individus hétérozygotes pour les gènes étudiés.

Ce premier croisement permet de déterminer la dominance ou la récessivité, ou la codominance des allèles de gènes étudiés. Exemple théorique de deux individus différant au niveau de 1 gène Individu A de génotype (a//a croisé avec un individu B de génotype (b//b), donnera un individu C de génotype (a//b) (hétérozyg ote pour le gène étudié) : si le phénotype de C correspond à l’expression de l’allèle a, l’allèle a est dominant sur b. Si l’on compare la diversité génétique de 6 écrevisses marbrées avec des écrevisses voisines à reproduction sexuée, on s’aperçoit que la diversité des individus de l’espèce à reproduction sexuée est beaucoup plus importante que celle des individus de l’espèce marbrée.

(le génome des individus marbrés est indiqué dans les cercles de 1 à 6.

La diversité trouvée dans l’espèce à reproduction sexuée est indiq uée dans le cercle 7). »

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