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Dissertation sur l'Algérie

Publié le 17/01/2022

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« Quasiment 10 ans après la fin de la seconde guerre mondiale, l’Algérie se révolte et décide de ce faire entendre pour tenter d’avoir leur indépendance… Cette guerre c’est déroulé du 1 er novembre 1954 au 18 mars 1962.

La mémoire est la présence sélective des souvenirs dans une société, elle est plurielle et conflictuelle, les différents groupes qui ont vécu des événements douloureux se font leur propre construction du passé et ces différentes visions peuvent s’opposer.

L’histoire a pour vocation de restituer le passé de la manière la plus objective possible.

Elle s’appuie sur une étude critique des sources écrites, orales et même archéologiques.

Dans un premier temps, nous verrons que la mémoire de cette guerre est encore très importante en Algérie et comment elle est commémorer avant de montrer le difficile travail des historiens et enfin nous expliquerons comment les algériens s’oppose à la façon dont le gouvernement en fait une mémoire officielle et es ce que cette mémoire est la même des deux cotés de la Méditerranée. Quel place la guerre d’Algérie occupe t-elle dans la mémoire des Algériens ? AXE 1 : Le conflit est ici une guerre d’indépendance et représente une victoire, un événement fondateur.

L’État issu de l’indépendance s’appropria alors la construction mémorielle et l’instrumentalisa en vue d’asseoir sa propre légitimité.

L es premiers monuments aux martyrs de la guerre d’indépendance algérienne apparaissent au Maroc et en Tunisie, dans les bases du Fln/Aln.

Le monument aux martyrs inauguré en 1982 à Alger, vingt ans après l’indépendance.

IL y a des statues représentant des moudjahidin c’est à dire les combattants de l’armée de libération nationale .

Sous Ben Bella, la construction de monuments aux martyrs est plus le fruit d’initiatives locales que d’une politique de la mémoire mise en œuvre par l’État.

Une seconde génération de monuments imitant le maqham-al-chahîd voit le jour à partir de 1984, date de l’apogée du pouvoir de Chadli.

Les constructions de nouveaux monuments n’ont jamais cessé, y compris pendant le conflit intérieur des années 1990, mais avec de plus en plus le recours à des architectures innovantes AXE 2 Le travail des historiens n’est pas facile pour décompter les victimes civiles en Algérie et celle du FLN car cette organisation est clandestine.

Mais par regroupements de sources et grâce à des évaluations en fonction des situations, ils peuvent proposer des chiffres vraisemblables.

A cela s’ajoute également la question des « disparus » c’est à dire ceux qui ne sont pas réapparues après le conflit dont on a aucune preuve de leur décès.

Mais le plus grave problème est la subordination de l’histoire à la politique dans un État encore récent qui doit son existence même à la révolution algérienne.

Les historiens évaluent le nombre de combattants algériens tués à 132 290 de la source de l’armée de libération nationale et 250 000 à 430 000 civils algériens.. »

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