diaporama histoire terminale

« Theme 2 – La multiplication des acteurs internationaux dans un monde bipolaire (de 1945 au debut des annees 1970) Chapitre 1 – La fin de la SGM et les debut d'un nouvel ordre mondial « Sam » et « Ivan », incarnés par les soldats William Robertson et Aleksandr Sylvachko, se serrent symboliquement la main le 25 avril 1945, jour de l’Elbe Day, devant le panneau East meets West lors de la jonction des deux armées au cœur du Reich. Problematique : En quoi la Seconde Guerre mondiale, traumatisme du XXeme siecle, fut-elle à l'origine de nouveaux equilibres mondiaux ? Plan : I.

La prise de conscience du bilan de la Seconde Guerre mondiale 1.

Un bilan effroyable 2.

Vers un État-Providence ? 3.

Entre prise de conscience et deni II.

Les bases d'un nouvel ordre mondial 1.

Vers une justice internationale : Les proces de Nuremberg et Tokyo 2.

Stabiliser les economies : Les accords de Bretton-Woods 3.

Garantir la paix : La naissance de l'ONU III.

De nouvelles tensions : Guerre froide et le Proche-Orient 1.

Deux super-puissances à la manoeuvre : La Guerre froide 2.

Etablir un nouvel equilibre de puissance au Proche-Orient Evaluation : Connaissances – QCM Points de passage : - 15 mars 1944 : Le Programme du CNR. - 25 février 1948-Le Coup de Prague. - 1948-naissance de l'État d'Israël. I.

La prise de conscience du bilan de la Seconde Guerre mondiale 1.

Un bilan effroyable Quels sont les pays les plus touches par la mortalite de la SGM ? expliquez pourquoi. 2.

Vers un État-Providence ? Rationnement sur les produits de première nécessité (Paris, décembre 1945) jusqu'en 1949. Dans quelle situation se trouve la France d'apres Guerre ? 1.

Le programme du CNR du 15 mars 1944 Point de passage Les représentants des mouvements, groupements, partis ou tendances politiques groupés au sein du CNR proclament qu’ils sont décidés à rester unis après la Libération afin d’établir le gouvernement provisoire de la République formé par le général de Gaulle [...] [et] afin de promouvoir les réformes indispensables : a) sur le plan économique : ‒ l’instauration d’une véritable démocratie économique et sociale, impliquant l’éviction des grandes féodalités économiques et financières de la direction de l’économie ; [...] ‒ le retour à la nation des grands moyens de production monopolisés, les fruits du travail commun, des sources d’énergie, des richesses du sous-sol, des compagnies d’assurance et des grandes banques ; [...] Quels sont les buts poursuivis b) sur le plan social : par le programme du CNR ? ‒ le droit au travail et le droit au repos [...] ; ‒ un rajustement important des salaires [...] ; ‒ un plan complet de sécurité sociale, visant à assurer à tous les citoyens des moyens d’existence, dans tous les cas où ils sont incapables de se les procurer par le travail [...] ; ‒ une retraite permettant aux vieux travailleurs de finir dignement leurs jours ; [...] ‒ une extension des droits politiques, sociaux et économiques des populations indigènes et coloniales ; [...] Ainsi sera fondée une République nouvelle qui balaiera le régime de basse réaction instauré par Vichy et qui rendra aux institutions démocratiques et populaires l’efficacité que leur avaient fait perdre les entreprises de corruption et de trahison qui ont précédé la capitulation. Conseil national de la Résistance, programme du 15 mars 1944. 3.

Entre prise de conscience et deni Quelles sont les reactions face à la decouverte de la l'horreur du genocide ? II.

Les bases d'un nouvel ordre mondial 1.

Vers une justice internationale : Les proces de Nuremberg et Tokyo Debut du tribunal de Nuremberg, le 20 novembre 1945 avec 24 prevenus. Les chefs d’accusation du Procès de Nuremberg Les actes suivants sont des crimes soumis à la juridiction du Tribunal et entraînent une responsabilité individuelle : 1.

Les crimes contre la paix : c’est-à-dire la direction, la préparation, le déclenchement ou la poursuite d’une guerre d’agression [...]. 2.

Les crimes de guerre : c’est-à-dire les violations des lois et coutumes de la guerre. Ces violations comprennent, sans y être limitées, l’assassinat, les mauvais traitements et la déportation pour des travaux forcés ou pour tout autre but des populations civiles dans les territoires occupés, l’assassinat ou les mauvais traitements des prisonniers de guerre, l’exécution des otages, le pillage des biens publics ou privés, la destruction sans motif des villes et des villages [...]. 3.

Les crimes contre l’humanité : c’est-à-dire l’assassinat, l’extermination, la réduction en esclavage, la déportation et tout autre acte inhumain commis contre toutes populations civiles, avant ou pendant.... »