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Devoir type BAC sur le poème de Victor Hugo intitulé «Le crapaud» paru en 1866

Publié le 15/11/2021

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« Marie-Ange Tabu-Bunsana 108 Devoir type BAC sur le poème de Victore Hugo intitulé « Le crapaud » paru en 1866 Questions en philosophie : 1° Selon le philosophe des Lumières Jean-Jacques Rousseau dans son Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes (1755), la nature humaine avant la société est d’origine plutôt positive étant donné que les hommes à l’état sauvage « ne pouvaient être ni bons ni méchants, et n’avaient ni vices » avec la « seule vertu naturelle, la pitié » par extension, ils ne connaissaient « ni la vanité, ni la considération, ni l’estime, ni le mépris ».

Ils étaient donc à l’abri d’une grande intensité des passions humaines. Pour le poète Victor Hugo dans son poème Le crapaud (1866), il considère de façon négative la nature humaine avant la société car l’humain est, dès son enfance, un être antipathique,cruel par plaisir du divertissement et sadique de par ses pulsions de torture et de persécution des plus faibles et des plus différents de lui tout en rabaissant d’autant plus ces êtres à travers des rires moqueurs lui procurant presque de la satisfaction et un sentiment malsain de supériorité.

Pour lui, Dieu ou un être divin et mystique supérieur dû moins seul peut amender la nature mauvaise de l'homme.

Tel a été son cas, lorsqu’il a entendu (si il s’agit bien d’Hugo dans cette histoire en tant que narrateur) une voix lui conseillait assez impérativement d’être bon. 3° Dans le film Freaks (1932) de Tod Browning, des personnes handicapées et/ou malformées (les « monstres humains ») sont mises en scène dans un cirque en tant que phénomènes de foire.

Frieda, personnage atteint de nanisme et fiancée du nain Hans, ne rentre effectivement pas dans les standards féminins de beauté extérieure et peut pour les personnes au physique « normale » d’une certaine façon représentée une forme de « laideur » car elle ne rentre pas dans la norme.

Toutefois, à travers sa gentillesse et sa bonté que le script de l’histoire confère à son personnage, elle présente avec distinction une beauté intérieure morale et donc qui a plus de valeur car elle a fait le choix de par son libre-arbitre de cultiver ses qualités morales, de déterminer et de construire l’individu qu’elle a souhaité être.

Pour Sartre d’ailleurs, l'homme est donc cet être chez qui "l'existence précède l'essence", c'est-à-dire qui est d'abord et qui se définit ensuite, par ses choix, par ses actes.

Ce qui signifie qu'il est libre.

Dans son livre L’existentialisme est un humanisme (1946), il indique que cela « signifie que l'homme existe d'abord, se rencontre, surgit dans le monde, et qu'il se définit après.

».

Paradoxalement, la beauté physique n’est pas du ressort de la volonté sachant que nous choisissons pas de venir au monde et encore moins la manière et dans quelles (au niveau du physique, du caractère, de la famille etc) dont nous arriverons au monde.

Ce qui veut donc dire qu’en réalité, la beauté physique naturelle que l’on acquiert ou non dès la naissance définie à travers des critères inhérents à une norme sociale est en soit dans son fondement d’une richesse moindre que la beauté morale que nous choisissons ou non d’acquérir car nous avons tous du pouvoir dessus, nous avons tous la possibilité de devenir un individu meilleur que celui que nous étions la veille en faisant par exemple chaque jour un peu plus preuve de patience, de persévérance, de bienveillance, de modestie, d’altruisme et de toute autre valeur/vertu morale. Pour en revenir au personnage de Frieda, sa gentillesse et sa bonté se traduisent essentiellement au travers de son amour inconditionnel pour Hans et le fait qu’elle ne veuille que son bonheur même si ce dernier ne doit réalise pas avec elle et doit se dérouler auprès de Cléopâtre.

Malgré le fait qu’elle soit jalouse qu’il la trompe ouvertement et ne l’aime pas comme elle le désirerait, elle fait tout ce qui est en son possible pour lui faire comprendre que Cléopâtre est une femme cupide et intéressée se jouant de lui et n’ayant qu’après sa fortune.

Elle a d’ailleurs assisté impuissante à son mariage jusqu’à ce qu’elle décide de quitter les lieux car la situation lui donnait trop de difficultés à surmonter cela car en effet Hans a pris ses remarques de mise en garde pour des marques de jalousie jusqu’à ce qu’il prenne conscience que Cléopâtre compte vraiment se débarrasser de lui en l’empoissonnant et profiter de son héritage.

De plus, à la fin elle lui a tout pardonné et elle a même voulu se remettre en couple avec Hans (dû moins la dernière scène du film suggère implicitement cela) malgré ses égarements et le mal qu’il lui a causé. L’art du cinéma a éclairé la beauté morale intérieure de Frieda par ses actions, ses répliques au-delà du fait qu’elle soit différente, et puisse être assimilée à l’idée de laideur en raison de son nanisme.

Selon mon. »

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