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Destruction des forces françaises:L'armée de l'air vaincue par la Luftwaffe.

Publié le 17/05/2020

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« 1 / 2 Destruction des forces francaises .

L'armée de l'air vaincue par la Luftwaffe Ne disposant que d'une armée de l'air dé­ suète, les Français ne purent tenter aucun effort de grande envergure pour soulager les Polonais.

Mais, selon le protocole signé en 1939 entre le général Gamelin et le ministre polonais de la Guerre, M.

Krasprzynski, la France devait riposter par une attaque aérienne à l'invasion alle­ mande de la Pologne.

Lors de la déclaration de guerre, les forces aériennes françaises se composaient de 549 chasseurs, de 186 bombardiers et de 377 appareils de reconnaissance.

La plu­ part de ces avions étaient périmés.

Cette flotte aérienne pesait peu devant la Luft­ waffe, forte de 4000 appareils.

Les Bri­ tanniques, eux, pouvaient en aligner 1500.

Mais, soucieux de leur sécurité ter­ ritoriale, ils n'en firent passer que 350 en France.

L'aviation française comprenait autant de forces aériennes qu'il y avait de zones opérationnelles (zone nord, zone sud, zone est, zone alpine); il s'y ajoutait une réserve, à la disposition du commandant en chef des forces aériennes.

Dès le début de:; hostilités, les appareils français furent détruits au sol par des bombardiers atta­ quant à basse altitude ou écrasés sous le nombre au cours de combats aériens.

Le 14 mai, les Français avaient déjà perdu 135 chasseurs, des Morane 406 pour la plupart, 21 bombardiers et 76 appareils de reconnaissance.

Lorsque les forces ter­ restres françaises se replièrent sur tous les fronts, les chasseurs Potez 631, pris pour des Messerschmitt 11 0, devinrent la cible des deux armées en présence.

La défaite devint inéluctable: le corps expéditionnaire britannique s'échappa par Dunkerque, abandonnant le reste des armées alliées; la brève et décisive batail­ le de France prenait fin.

Le 5 juin, la Fran­ ce avait perdu 4 73 chasseurs, 120 bom­ bardiers et 1 94 appareils de reconnais­ sance.

Le 21 juin, lorsque les Allemands présentèrent leurs conditions d'armistice, le gouvernement français, dit de Bor­ deaux, ne disposait que d'une étroite marge de manœuvre.

Il obtint pourtant que les avions militaires français ne servi­ raient pas dans la Luftwaffe: on les désar­ merait, sous contrôle allemand. 2 / 2. »

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