des peys toujours emergents?
Publié le 23/05/2020
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Des pays toujours émergents.
Pierre Salama né en 1942, est un écrivain, historien et économiste français.
Il entreprend des études
d’économie et devient professeur émérite de l’université PARIS XIII.
Il enseignera par la suite les
sciences économiques dans d’autres universités et deviendra directeur scientifique de la revue Tiers
monde.
Dans le livre des Pays toujours émergents ? Parût en 2014, il fait une analyse sur l’émergence
des pays et la croissance mondiale.
Les pays émergents ont montré durant les dernières années une croissance que bien des pays
industrialisés leur ont enviée.
Or, aujourd'hui, le ralentissement économique, voire la crise, menace la
plupart de ces pays, de nouvelles vulnérabilités sociales et économique apparaissent, environnement est
menacé.
Le miracle économique est t’il toujours fiable ? Nous allons aborder le sujet à travers des
questions-clés : la mise en place, la fragilité et vulnérabilité des économies puis la baisse de la
pauvreté, l’émergence de classes moyennes et les coûts environnementaux de la croissance.
Etre 1960-1970, on parlait d’économie semi industrialisé basé sur le développement industriel des pays
quelque peu tronquée.
Le poids des pays émergents est alors encore négligeable au niveau mondial.
En
1980 les Dragons rouge asiatique s’imposaient de plus en plus grâce aux conquêtes des marchés
extérieurs, une croissance rapide et une ouverture mondiale; Les pays latino eux sont en crise
économiques dû à leurs dettes de la guerre.
Aujourd’hui on parle économie émergent formant une
structure non figée.
Les pays émergents, les BRICS plus Mexique maintenant forment un tout pourtant
des égalités côtoyant des divergences.
Elles se rejoignent sur quatre points : une distribution des revenu
inégale, une informalité importante, des écarts de productivités du travail et ainsi qu’une corruption et
opacité très rependu et importante.
Pourtant des différences significatives sont présentes comme la
démographie dû à une natalité et mortalité variés ; un taux de croissance élève dans certains pays
comme la chine et faible dans d’autres comme l’Inde.
Il y a aussi le taux d’investissement très
hétérogène passant du simple (18% en Amérique du Sud) au double (48% en Chine), la situation de leur
compte extérieur ainsi que la dette publique sont très différentes en fonction des pays du Nord et du
Sud ainsi que le phénomène de violence qui génère pas la même virulence.
Les pays émergents sont donc un ensemble fortement inégal de part leur histoire et leur mode
d’insertion dans l’économie.
Grace au développement des échanges internationaux, certains pays on dû
s’adapter, en 1970 on parle de délocalisation des pays avance vers les pays moins développés afin de
baisser les couts de production.
Ce crée alors le découpage de fabrication des produits ou plusieurs pays
rentre dans la composition d’un biens (ex : Iphone) favorisant alors les relations commerciales entre
Etat.
En 1990 on adopte le terme d’hyperbolisation grâce à l’ouverture commercial qui ne cesse de
s’accélérer baissant les couts des transports, la révolution informatique et la progression rapide des
échanges aux niveaux des services de transports.
Cette monté en puissance des BRICSM ce fait au
détriment des pays avancés, car leur part d’exportation mondiale ne cesse de croitre (chine premier
exportateur eu monde), leurs échanges de services et leur importations ont doublé.
Les échanges entre
les pays du nord et du sud sont différents selon le lieu d’expression, de biens durables et manufacturés
aux matières premières en passant par les produits de haute technologie.
La libéralisation des mouvements de capitaux n’est pas total car il y a des obstacles à l’entre et a la sotie
des investissements permettant de limiter les effets négatives sur l’économie globale cependant elle reste
importante dans le domaine des investissements directs étrangers(IDE).Ces dernières années elles ce.
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