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Définition et distinctions conceptuelles

Publié le 15/05/2024

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« Définition et distinctions conceptuelles https://www.philo52.com/articles.php?lng=fr&pg=34 A regarder Attention, j’ai rajouté des defs, ect avant la partie « pas imprimé » Définitions : Animal : Être vivant organisé, doté de mobilité et de sensibilité. En science : Organisme vivant multicellulaire eucaryote, caractérisé par son hétérotrophie et sa motilité Nature : La nature est l'ensemble des réalités matérielles existant indépendamment de l'humain. AMELIORER Liberté : Elle se définit, négativement, comme l'absence de contrainte; positivement comme l'état de celui qui fait ce qu'il veut.

(ajouter des sens) Existence humaine : La façon d’être propre à l’humain Existence : 1.

Mode d’être caractérisé par le fait d’être concrètement.

2.

Vie, manière de vivre. Individu :1.

Tout être qui forme une unité distincte de tout autre et qui ne peut être divisée sans être détruite. 2.

Être humain, considéré comme membre d'un collectif et abstraction faite de sa particularité. 3.

Être humain, pris comme séparé d'un collectif (groupe, société), voire opposé à lui. Technique : 1.

Ensemble des moyens produits par l’homme pour satisfaire ses besoins. 2.

Ensemble particulier de procédés permettant d’obtenir un résultat déterminé. Temps : (Philosophie) Dimension du réel qui rend possible et compréhensible le changement. (Traditionnellement) Milieu indéfini et homogène où se déroulent les événements naturels et l'existence humaine. Espèce : Taxon qui regroupe des êtres vivants dont les caractéristiques communes permettent de les distinguer d'individus du même genre. Norme : La norme est l'ensemble des règles de conduite qu'il convient de suivre au sein d'un groupe social.

Une norme désigne aussi l'état de ce qui est dans la majorité des cas, de ce qui est répandu, conforme à la moyenne. Raison : Le terme « raison » vient du latin ratio qui signifie « calcul ».

Elle se définit comme la capacité qu'a l'Homme de formuler des jugements mais aussi de faire la différence entre le vrai et le faux, le bien et le mal. Les lois naturelles : L'ensemble des lois qui régissent la nature État de nature (désigne la situation de l'Homme ou de la société humaine antérieurement à l'apparition de la civilisation) / état de culture Vice : Disposition habituelle au mal.

Mauvais penchant, défaut grave que réprouve la morale sociale Vertu : Force morale avec laquelle l'être humain tend au bien, s'applique à suivre la règle, la loi morale.

1/6 Le fait de ne pas simplement agir pour notre conservation, mais d’agir pour la conservation de l’humanité. Morale : Les règles prétendant définir ce qui nous en approche ou nous y conduit, la vertu. Ou : Ensemble de règles de conduite et de valeurs liées à une représentation de ce qui est bien et mal. Ou : Du Latin « Mores », qui veut dire mœurs, la morale désigne l’ensemble des règles, des conduites et des valeurs auxquels un individu se soumet et qui doivent être respectées sans condition.

Elle peut être amenée à définir des notions de bien et le mal répondant aux critères d’objectivité et d’universalité. Différence : Écart entre des choses ayant des éléments identiques.

Caractère d'une chose qui constitue cette relation et interdit de l'identifier à une autre Culture : 1.

(Culture collective) Ensemble des pratiques, connaissances, traditions et normes propres à un peuple. 2.

(Individuelle) Processus par lequel l'homme développe ses facultés intellectuelles et s'extrait de l'état où il serait spontanément resté.

C’est le développement de l’humanité de l’homme par le savoir. 3.

(Agriculture) Travail de la terre par lequel l'homme en améliore la production et en tire des résultats qu'elle n'aurait pas donné spontanément.

).

Qui peut être compris comme l’action (activité humaine) de modifier la Nature à notre avantage. Contingent : 1.

(Sens strict) Qui n'est pas nécessaire.

Quelque chose de contingent peut ne pas avoir lieu.

Et s’il a lieu, cela ne change rien au fait qu’il aurait pu ne pas avoir lieu. 2.

La contingence est le statut des propositions qui ne sont ni toujours vraies, indépendamment de toute valeur de vérité, ni toujours fausses.

Une proposition contingente n'est donc ni nécessairement vraie, ni nécessairement fausse. Nécessaire : Qui ne peut être autrement qu’il n’est.

Si quelque chose est nécessaire, il lui est impossible de ne pas être. Loi : 1.(Général) Règle de fonctionnement obligatoire et générale qui s’impose aux entités qu’elle vise. 2.

(Science) Formalisation d’une régularité constatée dans le déroulement des phénomènes qui permet de prévoir ceux-ci. Déterminisme : Théorie selon laquelle les événements du réel, y compris ceux du monde humain, sont soumis à un enchaînement causal nécessaire. Ou : Principe selon lequel tout effet a une cause, les mêmes causes produisent les mêmes effets et il n’y a pas d’effets sans causes. Analogie : Ressemblances (Courant) ; Ressemblance de structure entre des éléments issus de domaines différents (Philosophie) Spécisme : Idéologie qui postule une hiérarchie entre les espèces, spécialement la supériorité de l'être humain sur les animaux. Art : 1.

Activité fabricatrice de l'être humain, par opposition aux produits de la nature.

Ici, l’art s’oppose à la nature, à ce qui est produit sans intervention humaine.

Il correspond à tout ce qui n’aurait pas existé sans l’action de l’être humain. 2.

Technique ; L’art est un ensemble de procédés permettant d’obtenir un résultat déterminé.

C’est une technique (et pas la technique).

On parle alors d’un art (et pas de l’art) et il y a autant d’arts que de pratiques 3.

Quand on parle d’art aujourd’hui, on parle des beaux arts.

C’est le sens esthétique, désormais dominant.

Il est toutefois difficile à définir.

Parler de « Beaux-arts » permet de séparer arts « esthétiques » et arts « techniques ». Artiste : Individu qui produit des œuvres d'art.

Décider de qui est artiste et pourquoi devient rapidement problématique.

Est-on artiste parce qu’on produit de l’art ? Ou l’art est-il ce qui est produit par un artiste ? Distinctions conceptuelles : L’essence et l’accident sont le contraire l’un de l’autre.

Mais ils sont tous deux des déterminations de l’être et le définissent.

L’essence permet de le saisir en ce qui le constitue, l’accident de la saisir en ce qui l’affecte superficiellement.

(C’est un caractère secondaire, qui peut disparaître sans modifier l’être considéré : Il est ainsi accidentel pour un homme d’être né en France) Anthropocentrisme (considère l’humain comme l'entité centrale la plus significative de l'Univers et qui appréhende la réalité à travers la seule perspective humaine) Ethnocentrisme (Tendance à privilégier les normes et valeurs de sa propre société pour analyser les autres sociétés.) Être en acte est une réalisation soit totalement accomplie, soit en train de se faire.

C’est un mouvement volontaire, en train de s’effectuer. Être en puissance c’est être sur le point de réaliser quelque chose.

La puissance est ce qui est à l'état de possibilité, c'est une promesse d'existence.

Le sculpteur actualise la statue en sculptant dans la pierre.

Vous êtes des adultes en puissance, mais vous ne le deviendrais qu’en vieillissant. En fait / en droit L'expression en fait signifie « dans les faits ».

Elle exprime ce qui est effectif, ce qui existe, ce qui constitue la réalité.

L'expression en droit désigne, par opposition, ce qui est légitime, légal, indépendamment de toute considération d'existence. Identité / égalité / différence L’identité désigne ce qui est semblable à soi-même ou qui ne présente qu’une seule réalité malgré des points de vue différents.

L'égalité est ce qui fait que deux choses peuvent être substituées l'une à l'autre ; la différence, ce qui fait que ces deux choses, malgré des caractères communs, ont entre elles un rapport d'altérité.

L'identité est donc l'absence de différence avec soi, l'égalité l'absence de différence avec autre chose que soi. 2/6 Ressemblance / analogie Dans un sens général, la ressemblance désigne un ensemble de traits ou éléments communs.

Une analogie est un rapport de ressemblance, d'identité partielle entre des réalités différentes préalablement soumises à comparaison. Universel, général, particulier, singulier L’universel désigne ce qui embrasse la totalité des êtres et des choses.

Valant pour tout et pour tous, quel que soit le lieu ou le temps considéré, il se distingue du général, avec lequel il est trop souvent confondu, qui s’applique à un ensemble plus restreint et qui surtout peut admettre des exceptions. L’universel s’oppose au particulier qui désigne ce qui est valable pour une partie seulement d’une totalité.

Le singulier, quant à lui, renvoie à une seule identité et ne s’applique qu’à un seul sujet. Par exemple dire : « tous les grecs sont mortels », c’est énoncer une proposition universelle ; dire : « tous les grecs aiment l’Acropole d’Athènes », c’est énoncer une proposition générale ; dire : « quelques grecs sont philosophes », c’est énoncer une proposition particulière ; dire enfin : « Socrate est philosophe », c’est énoncer une proposition singulière. Principe / cause / fin Un principe est une proposition indémontrable qui sert de fondement à une réflexion.

Une cause est ce qui précède le phénomène et engendre un effet.

Une fin est ce qui est à la fois le but visé et le moment où ce but est atteint (le terme). Objectif /.... »

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