Databac

DEBUSSY, Achille-Claude, dit Claude(22 août 1862-25 mars 1918)CompositeurLa faillite de son père oblige la famille de Debussy à s'installer à Paris,où une parente découvre ses dons.

Publié le 23/05/2020

Extrait du document

Ci-dessous un extrait traitant le sujet : DEBUSSY, Achille-Claude, dit Claude(22 août 1862-25 mars 1918)CompositeurLa faillite de son père oblige la famille de Debussy à s'installer à Paris,où une parente découvre ses dons. Ce document contient 389 mots soit 1 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Histoire-géographie.

« DEBUSSY, Achille-Claude, dit Claude (22 août 1862-25 mars 1918) Compositeur La faillite de son père oblige la famille de Debussy à s’installer à Paris, où une parente découvre ses dons.

A dix ans il entre au Conservatoire, et à vingt-deux ans sa cantate L’Enfant prodigue lui vaut le premier grand prix de Rome.

Il ne passe à la villa Médicis que quelques mois en 1885-1886, et ses envois scandalisent les membres de l’ Institut autant que lui s’exaspère à Rome.

Il revient vite reprendre sa place auprès de la baronne von Meck, qui est une amie de Tchaïkovski.

Il voyage avec elle en tant que secrétaire et pianiste dans toute l’Europe.

De la Suisse à l’Italie, où il rencontre Wagner à Venise, de Moscou à l’Autriche, où il rencontre Brahms à Vienne.

A son retour à Paris il fréquente les mardis de Mallarmé .

C’est là qu’il rencontre des poètes tels que Paul Verlaine , Jules Laforgue , Henri de Régnier et Pierre Louÿs , qui devient son ami. Casanier, Debussy répugne à quitter Paris, ce qui ne l’empêche pas d’aller à Bayreuth, où il entend Parsifal et Tristan, ou de donner des concerts dans un certain nombre de capitales d’Europe, quand bien même il évite, excellent pianiste, de se produire en public.

Il éprouve en écoutant de la musique javanaise lors de l’Exposition universelle de 1889 une émotion aussi intense que celle qu’a provoqué sur lui la musique de Wagner.

La vie de Debussy, au-delà de ses deux mariages, n’est réglée que par le souci de la composition de ses œ uvres.

La création de Pelléas et Mélisande à l’Opéra-Comique, en 1902, sous la direction du compositeur André Messager , est accueillie par l’incompréhension, l’ironie et la raillerie, y compris celle du poète Maeterlinck, qui publie le jour même de la première une lettre ouverte dans Le Figaro , dans laquelle il souhaite à l’ œ uvre — dont il est le librettiste — une “ chute prompte et retentissante ” .

C’est à la complicité d’une cinquantaine de jeunes admirateurs qui viennent de représentation en représentation applaudir sans relâche au poulailler que l’ œ uvre doit de n’avoir pas été retirée de l’affiche.

Les mêmes ne manquaient pas d’assister aux concerts où étaient donnés Prélude à l’après-midi d’un faune ,Ibéria , Nocturnes et La Mer .

C’est vers 1910 que Debussy est affecté par les premiers signes d’un cancer, qui l’emporte après deux opérations.. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles