Dans sa Défense et Illustration de la langue française Joachim du Bellay a écrit: Celui-là sera véritablement le poète que je cherche en notre langue, qui me fera indigner, apaiser, réjouir, douloir, aimer, haïr, admirer, étonner; bref qui tiendra la bride de mes affections (sentiments)me tournant ça et là à son plaisir. Quel est, parmi les poètes que vous connaissez et aimez, celui qui a le plus complètement réalisé cette définition ?
Publié le 09/12/2021
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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Dans sa Défense et Illustration de la langue française Joachim du Bellay a écrit: Celui-là sera véritablement le poète que je cherche en notre langue, qui me fera indigner, apaiser, réjouir, douloir, aimer, haïr, admirer, étonner; bref qui tiendra la bride de mes affections (sentiments)me tournant ça et là à son plaisir. Quel est, parmi les poètes que vous connaissez et aimez, celui qui a le plus complètement réalisé cette définition ?. Ce document contient 0 mots. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système d’échange gratuit de ressources numériques ou achetez-le pour la modique somme d’un euro symbolique. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en : Littérature
Ecrit-on selon vous son autobiographie parce qu'on se voit ou parce qu'on ne se voit pas ?
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- Dans sa Défense et Illustration de la langue française, le poète Joachim du Bellay a écrit : « Celui-là sera véritablement le poète que je cherche en notre langue, qui me fera indigner, apaiser, réjouir, douloir, aimer, haïr, admirer, étonner; bref qui tiendra la bride de mes affections (= sentiments), me tournant çà et là à son plaisir. » Quel est, parmi les poètes que vous connaissez -et aimez, celui qui a le plus complètement réalisé cette belle définition?
- BELLAY, Joachim du (1522-1560)Poète, ami et collaborateur de Ronsard, il rédige le manifeste de la Pléiade, Défense et illustration de la langue française.
- Dans l'Avant-propos de son Histoire de la littérature française, G. Lanson écrit : »La littérature n'est pas objet de savoir : elle est exercice, goût, plaisir. On ne la sait pas, on ne l'apprend pas : on la pratique, on la cultive, on l'aime ». Vous vous interrogerez sur ce jugement, en vous référant aux oeuvres littéraires que vous connaissez ?
- Voici un mot de la langue française que vous ne connaissez pas « razobud». Vous allez imaginer ce qu'il peut signifier. Inventez 3 paragraphes indépendants les uns des autres d'une huitaine de lignes où le mot « razobud » sera le sujet central, le premier sera narratif, le second descriptif et le troisième explicatif sous la forme d'une définition de dictionnaire. N'oubliez pas les paragraphes.
- « Poésie ! ô trésor ! perle de la pensée! [...] 0 toi ! des vrais penseurs impérissable amour ! Comment se garderaient les profondes pensées, Sans rassembler leurs feux dans ton diamant pur Qui conserve si bien leurs splendeurs condensées ? Ce fin miroir solide, étincelant et dur, Reste des nations mortes, durable pierre Qu'on trouve sous ses pieds lorsque dans la poussière On cherche les cités sans en voir un seul mur. » (Vigny, La Maison du Berger.) Vous dégagerez la définition de la