Dans le texte la souris Algernon se trouve confrontée à une expérience angoissante. Vous-même, avez-vous déjà éprouvé un sentiment de même nature face à une situation réelle, ou à la lecture d'un roman, ou lors de la vision d'un film d'horreur ? Décrire les circonstances et analyser vos réactions.
Publié le 16/07/2020
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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Dans le texte la souris Algernon se trouve confrontée à une expérience angoissante. Vous-même, avez-vous déjà éprouvé un sentiment de même nature face à une situation réelle, ou à la lecture d'un roman, ou lors de la vision d'un film d'horreur ? Décrire les circonstances et analyser vos réactions.. Ce document contient 1265 mots soit 3 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format PDF sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Littérature.
« « Des fleurs pour Algernon » (Charlie, un attardé mental, a subi une opération qui a développé son intelligence au point qu'il participe à des travaux de recherche scientifique. Il observe ici Algernon, une souris de laboratoire sur laquelle a été pratiquée la même intervention.) « Je suis retourné au labo, travailler avec Algernon. Elle sort par moments de sa léthargie. De temps en temps, elle parcourt le labyrinthe à transformations, mais si elle échoue et se trouve dans une impasse, elle réagit violemment. Quand j'arrivai au labo, j'allai regarder. Elle était éveillée et vint à moi comme si elle me reconnaissait. Elle avait envie de travailler et quand je la fis passer par la porte à coulisse dans le labyrinthe grillagé, elle fila rapidement dans les couloirs jusqu'à sa cagette d'arrivée. Deux fois, elle parcourut le labyrinthe avec succès. La troisième fois, elle fit la moitié du parcours, s'arrêta à un croisement et, dans un mouvement incertain, prit le mauvais couloir. Je voyais ce qui allait arriver et j'aurais voulu me pencher et la soulever avant qu'elle n'aboutisse à une impasse, mais je me retins et l'observai. Quand elle s'aperçut qu'elle suivait un parcours qu'elle ne reconnaissait pas, elle ralentit et ses actes devinrent désordonnés : partir, s'arrêter,. revenir en arrière, se retourner, repartir en avant jusqu'à ce qu'elle se trouve finalement dans le cul-de-sac qui, d'un petit choc électrique, l'avertit qu'elle avait fait une erreur. A ce moment, au lieu de revenir en arrière pour trouver un autre chemin, elle se mit à tourner en rond, à couiner comme une aiguille de phonographe qui déraille. Elle se jetait contre les parois du... ...»
«
1 / 2 UNE
EXPÉRIENCE PERSONNELLE
Texte.
«
Des fleurs pour Algernon »
(Charlie, un attardé mental, a subi une opération qui a
développé son intelligence au point qu'il partiçjpe à des
travaux de recherche scientifique.
Il observe ici Algernon,
une souris de laboratoire sur laquelle a été pratiquée la
même intervention.)
« Je suis retourné au labo, travailler avec Algernon.
Elle
sort par moments de sa léthargie.
De temps en temps, elle
parcourt le labyrinthe à transformations, mais si· elle échoue
et se trouve dans une impasse, elle réagit violemment.
Quand j'arrivai au labo, j'allai regarder.
Elle était éveillée
et vint à moi comme si elle me reconnaissait.
Elle avait
envie de travailler et quand je la fis passer par la porte- à
coulisse dans le labyrinthe grillagé, elle fila rapidement dans
les couloirs jusqu'à sa cagette d'arrivée.
Deux fois, elle
parcourut le labyrinthe avec succès.
La troisième fois, elle
fit la
moitié du parcours, s'arrêta· à un croisement et, dans
un mouvement incertain, prit le mauvais couloir.
Je voyais
ce qui allait arriver et j'aurais voulu me pencher et la
soulever avant qu'elle n'aboutisse à une impasse, mais je
m� retins et l'observai.
Quand elle s'aperçut qu'elle suivait un parcours qu'elle
ne reconnaissait pas, elle ralentit et ses actes devinrent
désordonnés : partir, s'arrêter,.
revenir en arrière, se retour
ner, repartir en avant jusqu'à ce qu'elle se trouve finalemênt
dans le cul-de-sac qui, d'un petit choc électrique, l'avertit
qu'elle avait fait une erreur.
A ce moment, au lieu de ,
revenir en arrière pour trouver un autre chemiri, elle se mit
à tourner en rond, à couiner comme une aiguille de
phqnographe qui déraille.
Elle se jetait contre les parois du
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