Dans le préambule des Confessions, Rousseau écrit : « et même s'il m'est arrivé d'employer quelque ornement indifférent, ce n'a jamais été que pour remplir un vide occasionné par mon défaut de mémoire ». Peut-on justifier et apprécier cette pratique dans le cadre de l'autobiographie ou de la biographie ?
Publié le 09/12/2021
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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Dans le préambule des Confessions, Rousseau écrit : « et même s'il m'est arrivé d'employer quelque ornement indifférent, ce n'a jamais été que pour remplir un vide occasionné par mon défaut de mémoire ». Peut-on justifier et apprécier cette pratique dans le cadre de l'autobiographie ou de la biographie ?. Ce document contient 0 mots. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système d’échange gratuit de ressources numériques ou achetez-le pour la modique somme d’un euro symbolique. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en : Littérature
Dans le préambule des Confessions, Rousseau écrit : « et même s'il m'est arrivé d'employer quelque ornement indifférent, ce n'a jamais été que pour remplir un vide occasionné par mon défaut de mémoire ». Peut-on justifier et apprécier cette pratique dans le cadre de l'autobiographie ou de la biographie ?
Dans le préambule des Confessions, Rousseau écrit : « et même s'il m'est arrivé d'employer quelque ornement indifférent, ce n'a jamais été que pour remplir un vide occasionné par mon défaut de mémoire ». Peut-on justifier et apprécier cette pratique dans le cadre de l'autobiographie ou de la biographie ?
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- L'écrivain Michel Leiris, dans la préface de son autobiographie L'Âge d'homme, écrit qu'il essaie de trouver dans le lecteur « moins un juge qu'un complice».Pensez-vous que Rousseau cherche à établir, dans les quatre premiers livres des Confessions, le même type de relation avec son lecteur ?
- François Mauriac écrit dans Commencements d'une vie (1932) : « Est-ce à dire que les souvenirs d'un auteur nous égarent toujours sur son compte ? Bien loin de là : le tout est de savoir les lire. C'est ce qui y transparaît de lui-même malgré lui qui nous éclaire sur un écrivain. Les véritables visages de Rousseau, de Chateaubriand, de Gide se dessinent peu à peu dans le filigrane de leurs confessions et histoires. » Vous direz dans quelle mesure, selon vous, ce propos de François Mauri
- Un critique écrit au sujet des Confessions : « On y voit, plus que l'autoportrait d'un homme tourmenté, le récit rétrospectif d'une destinée malheureuse, tracé par un écrivain pathétique à force de crier son excellent naturel, malade de ses contradictions, avide de s'attirer la sympathie du lecteur ». Commentez cette réflexion d'après votre lecture des quatre premiers livres des Confessions de Rousseau ?
- Un critique contemporain écrit : « Les Confessions n'ont pas seulement pour fonction d'être une justification et un témoignage : pour un Rousseau meurtri, elles sont [...] une consolation, une chanson qui berce la misère humaine. » Vous direz dans quelle mesure cette phrase peut servir de définition aux quatre premiers livres des Confessions.
- Un critique écrit au sujet des Confessions : « On y voit, plus que l'autorportrait d'un homme tourmenté, le récit rétrospectif d'une destinée malheureuse, tracé par un écrivain pathétique à force de crier son excellent naturel, malade de ses contradictions, avide de s'attirer la sympathie du lecteur. » Commentez cette réflexion d'après votre lecture des quatre premiers livres des Confessions de Rousseau.