Dans la théorie Freudienne, comment s’articulent les concepts psychanalytiques (pulsions, mécanismes de défense, angoisses, le désir, la sexualité infantile …) autour de la construction du sujet ?
Publié le 23/11/2021
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Sujet : Dans la théorie Freudienne, comment s’articulent les concepts psychanalytiques
(pulsions, mécanismes de défense, angoisses, le désir, la sexualité infantile …) autour de la
construction du sujet ?
Introduction (les concepts freudiens et la construction du sujet)
Les concepts Freudiens ont une place centrale dans la construction du sujet, ainsi que dans sa
structuration psychologique et sa personnalité, ces concepts régissent l’etre humain durant les
différents stades de la vie, parmi ces concepts on note, pulsions, mécanismes de défense,
angoisses, le désir, la sexualité infantile.
Développement :
Freud a observé qu’il y a une source d’excitation, qui vient de l’intérieur ces excitations sont
ressenties à l’intérieur de l’individu, il en est donc ainsi des pulsions sexuelles,
Plus précisément le terme de pulsion signifie une poussée, une force psychique agissant de
façon permanente c’est-à-dire la mise en mouvement de l’activité psychique continuellement ;
le but qui, dans tous les cas est la satisfaction, c’est-à-dire la suppression de l’excitation ;
l’objet qui est le moyen d’atteindre la satisfaction, peut être très variable, l’objet de la pulsion
sexuelle peut, chez l’être humain, se rapporter à une personne, un organe, ou encore un objet.
Freud a utilisé le terme de pulsion sexuelle et a observé qu’elle peut aussi s’exercer sur le
Moi, c’est-à-dire le prendre comme objet.
Il a donc distingué deux parties de la libido, la
libido du Moi et la libido d’objet .
Dans la théorie Freudienne, la sexualité infantile se développe à partir de pulsions dites
partielles car elles n’engagent pas tout le corps, non plus que l’organe sexuel, dans la mesure
où l’appareil sexuel n’est pas encore fonctionnel.
Ces pulsions partielles sont liées à certaines
fonctions corporelles essentielles pour les besoins physiques de l’individu : le nourrissage,
l’élimination, en particulier.
Freud observe que les zones corporelles correspondantes (la
bouche, l’anus, le « fait-pipi ») sont particulièrement investies par l’enfant.
Ainsi la première
pulsion partielle à se développer est celle qui est liée à l’allaitement, à la relation au sein (ou
son substitut).
La succion produit la satisfaction du besoin alimentaire, mais on observe que le
bébé prolonge cette fonction au-delà de sa faim, y prend un plaisir dérivé.
La zone de la
bouche, des lèvres est à ce moment source d’un plaisir pulsionnel, se développe en zone
érogène.
Il en sera de même pour l’autre extrémité du corps, et le plaisir pris avec les fèces
( excrément.) .
Ce sont là les deux objets partiels qui ont une place fondamentale dans la
sexualité infantile.
Toutes deux très précisément liées au départ à la satisfaction d’un besoin
physique, Dans un second temps la pulsion partielle pourra être activée pour elle- même en
l’absence du besoin, sous la forme d’un plaisir autoérotique, lui-même fondement du
narcissisme (l’enfant sucera des objets, jouera avec les excréments, etc.).
Ces zones érogènes
garderont leur importance à la maturité sexuelle comme composantes de la sexualité adulte.
Freud associe la pulsion sexuelle à la pulsion de vie (EROS) et pulsion d’auto conservation
qui permets aussi la reproduction de l’humanité, contrairement à la pulsion de mort
(Thanatos) qui a pour but la destruction.
Freud a traité aussi la notion du plaisir liée aux pulsions, ainsi le désir serait issu d’une trace
laissée par un ancien vécu de plaisir, le tout premier ressenti de plaisir.
Il a pour but de.
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