Dans la Revue des deux Mondes, en 1838, Gustave Planche écrivait, à propos de Ruy Blas, de Victor Hugo : « Toute la pièce n'est qu'un puéril entassement de scènes impossibles. Elle ne relève ni de la réalité historique, ni de la réalité humaine, ni de la poésie lyrique ». Selon vous, d'après les drames romantiques que vous connaissez, ce jugement est-il justifié ?
Publié le 20/12/2021
Extrait du document
Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Dans la Revue des deux Mondes, en 1838, Gustave Planche écrivait, à propos de Ruy Blas, de Victor Hugo : « Toute la pièce n'est qu'un puéril entassement de scènes impossibles. Elle ne relève ni de la réalité historique, ni de la réalité humaine, ni de la poésie lyrique ». Selon vous, d'après les drames romantiques que vous connaissez, ce jugement est-il justifié ?. Ce document contient 1394 mots soit 3 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format PDF sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en: Français / Littérature.
«
Dans la Revue des deux Mondes , en 1838, Gustave Planche écrivait, à propos de
Ruy Blas , de Victor Hugo : « Toute la pièce n'est qu'un puéril entassement de
scènes impossibles.
Elle ne relève ni de la réalité historique, ni de la réalité
humaine, ni de la poésie lyrique ».
Selon vous, d'après les drames romantiques
que vous connaissez, ce jugement est -il justifié ?.
»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- Ruy Blas (1838) de VICTOR HUGO (1802-1885)
- A. de Musset écrivait, dans un article publié le 1er novembre 1838, dans la Revue des Deux Mondes, sous le titre De la tragédie, à propos de Mademoiselle Rachel : « Si les règles étaient des entraves inventées à plaisir pour augmenter la difficulté, mettre un auteur à la torture et l'obliger à des tours de force, ce serait une puérilité si sotte qu'il n'est guère probable que des esprits comme Sophocle, Euripide, Corneille s'y fussent prêtés. Les règles ne sont que le résultat des calc
- Ruy Blas (VICTOR HUGO - 1838) - FICHES-¼UVRES
- Victor Hugo, qui admirait beaucoup Shakespeare, écrivait dans sa préface de Cromwell « car la poésie, la vraie, est dans l'harmonie des contraires ». Montrez comment Roméo et Juliette illustre cette harmonie des contraires.
- Dans le journal d'un poète, en 1836, Alfred de Vigny écrivait: Le drame est vrai puisque, dans une action tantôt comique, tantôt tragique, suivant les caractères, il finit avec tristesse comme la vie des hommes puissants de caractère, énergiques de passion. Le drame n'a été appelé bâtard que parce qu'il n'est ni comédie ni tragédie. [...] Mais les vivants sont ainsi. Vous expliquerez cette opinion en l'illustrant à partir des drames romantiques que vous connaissez ?